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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 07:31

.Un juge d'instruction va enquêter sur les sondages de l'Elysée

LEMONDE.FR avec AFP | 22.02.11 | 20h01


Le marché des sondages de l'Elysée avait été attribué sans appel d'offres à une société dirigée par le journaliste Patrick Buisson.

Le marché des sondages de l'Elysée avait été attribué sans appel d'offres à une société dirigée par le journaliste Patrick Buisson.AFP/LIONEL BONAVENTURE

Une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction, a été ouverte le 15 février à Paris dans l'affaire des sondages de l'Elysée, selon une source judiciaire.

Publifact, la société de Patrick Buisson, un ancien journaliste proche de Nicolas Sarkozy, a signé une convention le 1er juin 2007 avec la présidence de la République pour la fourniture d'études d'opinion. Ce contrat passé sans appel d'offres portait sur un coût total avoisinant 1,5 million d'euros sous la forme de près de 130 factures.

L'enquête fait suite au dépôt d'une plainte avec constitution de partie civile pour favoritisme déposée en novembre par l'association Anticor. Elle a été confiée au juge du pôle financier du tribunal de grande instance de Paris Serge Tournaire, selon cette source.


UNE CONVENTION ÉPINGLÉE PAR LA COUR DES COMPTES

Le parquet de Paris avait classé sans suite début novembre une première plainte d'Anticor visant une convention passée en 2007 entre l'Elysée et la société Publifact. C'est la Cour des comptes qui avait mis au jour en juillet 2009 cette convention, passée, selon elle, sans qu'"aucune des possibilités offertes par le code des marchés publics pour respecter les règles de la mise en concurrence […] n'ait été appliquée".

Dans son rapport de contrôle des comptes et de la gestion des services de l'Elysée en 2008, la cour épinglait par ailleurs une série de 15 études d'opinion publiées dans la presse alors qu'elles avaient été facturées également à l'Elysée par le cabinet de conseil de M. Buisson.

L'Elysée fait désormais payer une partie de ses dépenses de sondages par Matignon via le Service d'information du gouvernement (SIG), selon le rapport du député PS Jean Launay sur les crédits alloués à l'Elysée en 2011.

 

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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 07:23
Des bébés dauphins échouent en masse le long des côtes du golfe du Mexique

Golfe du Mexique - Des bébés dauphins échouent en masse le long des côtes

 

GULFPORT (Etats-Unis) - Des bébés dauphins échouent sans vie le long des côtes du golfe du Mexique polluées par la vaste marée noire du printemps dernier a un rythme dix fois plus élevé que d'ordinaire, ont indiqué mardi des chercheurs américains.

Quelque 17 bébés dauphins morts ont été trouvés le long des côtes de l'Alabama et du Mississippi au cours des deux dernières semaines, selon ces chercheurs de l'Institute for Marine Mammal Studies.

"La moyenne est de un à deux par mois. Cette année nous en avons 17, et février n'est même pas encore fini", a indiqué Moby Solangi, directeur de l'institut situé à Gulfport, dans le Mississippi (sud).

"Pour une raison inconnue, (les femelles) ont commencé à avorter (...) ou (les bébés) étaient morts avant d'être nés", a indiqué Moby Solangi, ajoutant attendre les résultats des nécropsies pratiquées lundi sur deux bébés dauphins afin de déterminer les causes de leur mort.

Il a cependant estimé que ces décès pourraient résulter de la marée noire provoquée en avril 2010 par l'explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon, exploitée par BP. En trois mois, plus de quatre millions de barils de pétrole s'étaient déversés dans le golfe du Mexique.

"Nous ne devons pas tirer de conclusions hâtives tant que nous n'avons pas les résultats" des nécropsies, a indiqué M. Solangi. "Mais ceci est plus que juste une coïncidence", a-t-il toutefois ajouté.

En 2010, le nombre de décès de dauphins a triplé par rapport aux années précédentes, passant d'une trentaine à 89, a également indiqué l'institut.

Les dauphins se reproduisent au printemps et la saison des naissances bat son plein en mars et en avril.

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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 03:54

 

 

    

La communauté internationale à réagir avec fermeté.

Il s’agit du Kharg, un navire de ravitaillement et de soutien de 33.000 tonnes, et l’Alvand, une frégate de patrouille armée de torpilles et de missiles antinavires.

L’Egypte leur a donné l’autorisation en vertu d’une convention datant de 1888.

L’Iran affirme que ces navires doivent effectuer une “visite de routine de quelques jours en Syrie”.

Pour cet analyste, ce passage, “le premier du genre depuis 1979 est un message clair. L’Iran essaye de peser à nouveau sur la région sur fond de turbulences qui ont affaibli les Etats-Unis. Il s’agit pour Téhéran de montrer que la géo-politique a changé et que des pays comme l’Egypte ne sont plus des piliers pour l’occident au Moyen-Orient”.

Le passage de ces navires est un “acte grave” pour le premier ministre israélien Benyamin Netanyahu. Son chef de la diplomatie et faucon de l’extrême droite Avigdor Lieberman parle lui de “provocation” alors que l’Etat hébreu considère l’Iran comme une menace majeur pour sa sécurité. 

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 21:09
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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 20:55

SANTE - Une université réunit des chercheurs du monde entier pour discuter des dangers de ce métal...

Cosmétiques, additifs alimentaires, eau potable : les sels d'aluminium ont envahi notre quotidien. Une réalité débattue à l'université de Keele, du 19 au 23 février, à Niagara (Canada). L'une des interventions les plus attendues est celle du Pr Romain Gherardi, qui présentera les résultats de l'équipe Inserm de Créteil. Depuis des années, il travaille au côté du Pr Authier sur une maladie de découverte récente : la myofasciite à macrophages (lire encadré), dont l'origine est imputée à l'hydroxyde d'aluminium, adjuvant contenu dans de nombreux vaccins.

«Réduire l'exposition humaine»

A l'initiative de ce congrès, Christopher Exley, biochimiste britannique, qui étudie ce métal depuis plus de vingt-cinq ans. «Les expositions aiguës sont connues pour provoquer un processus neuro-dégénératif ainsi que des maladies osseuses, mais les dangers potentiels de l'exposition chronique peuvent inclure de nombreuses maladies telles que le diabète ou la maladie d'Alzheimer.»

Une session sera d'ailleurs consacrée à cette pathologie, qui touche aujourd'hui en France près de 800.000 personnes. Si les agences de santé publique affirment qu'aucun lien n'a pu être démontré, «l'hypothèse selon laquelle cette substance contribue de manière significative à la maladie d'Alzheimer est construite sur des preuves expérimentales solides et ne devrait pas être rejetée. Des mesures immédiates doivent être prises pour réduire l'exposition humaine à l'aluminium», estime le Dr Lucija Tomljenovic, de l'université de British Columbia à Vancouver, qui présentera cette semaine le résultat encore inédit de son travail.

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 20:39
 

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 20:35

Dominique Strauss-Kahn mis en cause devant le TGI de Paris pour son implication dans une escroquerie internationale à 22 milliards de dollars

 

DSK-Parti-socialiste

 

Le 20 septembre 2010, Maître Dominique Kounkou, avocat de Christian Basano, assignait l’Agent Judiciaire du Trésor (AJT) pour faute lourde de l’État devant le TGI de Paris, dans une affaire complexe d’escroquerie internationale, dans laquelle M. Dominique Strauss-Kahn fut un acteur particulièrement impliqué comme Ministre de l’Industrie du gouvernement Cresson en 1991.

L’on trouvera ci-dessous les premières pages de l’assignation, actuellement en instance devant la Première Chambre du TGI de Paris. Une enquête approfondie devra être diligentée par ce Tribunal dans les prochains mois. Les conclusions en réponse de l’AJT dans cette affaire sont attendues à la prochaine audience du 16 mars prochain. Texte complet de l’assignation en téléchargement ci-dessous.

Christian Cotten, Président de Politique de Vie.

politiquedevie@orange.fr - Tél. : 06 89 52 06 41

Christian Basano : 06 13 25 37 66 - basa888@gmail.com

 


ASSIGNATION DEVANT

LE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS

L’an deux mille dix

Et le : 20 septembre 2010

À la requête de :

Christian BASANO,
né le 12/07/1957 à NICE,
demeurant 19 avenue Albert 1er - 81100 CASTRES.
Expert-comptable diplômé, ancien commissaire aux comptes.        Tél. : 06 13 25 37 66
basa888@gmail.com

Ayant pour Avocat constitué :

Maître Dominique Kounkou - SCM Avocap - 11 quai de Conti - 75006 PARIS
Tél. : 01 42 60 04 31 - Fax : 01 42 60 04 55 - cabinetkounkou@yahoo.fr
Palais : E 1108

Auprès de qui domicile est élu pour les présentes et ses suites.

Nous, huissiers, Florence Alévêque, Paris

Assignons :

M. l’Agent Judiciaire du Trésor, demeurant au 6 rue Louise Weiss 75703 PARIS CEDEX 03,

À COMPARAITRE À QUINZAINE FRANCHE, délai de la loi, par-devant le :

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE de Paris, 4 bd du Palais – 75001 PARIS

aux heures habituelles des audiences et à toutes audiences suivantes et utiles au besoin.

Lui déclarant qu'il devra constituer avocat inscrit près ledit Tribunal, dans les quinze jours des présentes et que, faute de constitution dans ce délai, un jugement pourra être pris contre lui.

Lui indiquant en outre que faute de comparaître, il s'expose à ce qu'un jugement soit rendu contre lui sur les seuls éléments fournis par son adversaire.

OBJET DE LA DEMANDE

 

Condamner l’État français à réparer le préjudice causé à M. Christian BASANO des faits de déni de justice et faute lourde de l’État dont il est victime depuis bientôt dix ans.

M. Christian BASANO a été victime d'usurpation d'identité, faux et usage de faux, vol et recels dans l'affaire dite KUWAIT Gate, de 1991 à ce jour.

 

En substance :

1991 : M. BASANO travaille avec le Koweït sur un projet d'extinction des puits de pétrole en feu, suite à la guerre du Golfe, dont le concepteur est M. Joseph FERRAYÉ.

À cause de ses origines libanaises, le concepteur ne peut obtenir de visa pour le Koweït. M. BASANO et ses associés doivent le représenter dans la négociation. Ils se rendent donc au Koweït. Une fois sur place, ils remettront leurs passeports, qui seront gardés par les autorités pendant tout leur séjour.

Arrivés au Koweït, M. BASANO et ses associés découvrent qu'une autre société française a obtenu le marché d'extinction des puits de pétrole. Cette société était fortement recommandée par M. Dominique STRAUSS-KAHN, qui écrit le 26 juillet 1991 à M. Hammoud Abdallah AL RAQBAH, Ministre du pétrole de l’Émirat du Koweït.


M. Dominique STRAUSS-KAHN était à l'époque des faits le Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce Extérieur du gouvernement de Mme Edith Cresson. Il écrit le 26 juillet 1991 alors que les brevets utilisés ont été déposés à l'INPI 3 mois auparavant, les 11 avril 91, 16 avril 91 et 2 mai 91 par M. Joseph FERRAYÉ.

14 juin 1991 : M. Christian BASANO et ses associés envoient un devis au directeur de Kuwait Bank pour un montant de 22 milliards  US $. Maître MOTU, célèbre notaire de nationalité  suisse, légalisera des comptes pour 23 005 341 300 US $ le 16 novembre 1995.

Août 1995 : M. LEVAVASSEUR, ancien agent de la DST, informe M. BASANO que celui-ci est titulaire de plusieurs comptes sur les livres des banques étrangères sur lesquels ont transité plus de 8 milliards de dollars américains, dont il a été désigné A.D.E.R. (Ayant Droit Économique Réel).

Des comptes que M. BASANO n'a jamais demandé d'ouvrir à quiconque, pourtant ouverts avec les noms des bénéficiaires et des montants qui correspondent au devis établi par M. BASANO.

Les virements ont été effectués à partir d'un contrat légalisé par l'Ambassade de France, signé entre une société P.B.E. OIL inconnue de M. Christian BASANO, qui en est pourtant désigné comme associé, shareholder, et le Ministère des Affaires Étrangères du Koweït.

Vraie fausse société qui, selon Infogreffe, a cessé toute activité le 7 avril 1989.

L’identité usurpée de M. Christian BASANO aura servi à transférer 23 milliards US $ destinés à celui et ceux qui ont utilisé pour leur propre enrichissement illicite les dysfonctionnements des services de l'État français (INPI, IFP, Horwell et les services de l'ambassade de France au Koweït).

Usurpation d'identité, faux, usages de faux, vol et recels auront permis aux acteurs impliqués de monter une vaste escroquerie internationale dont M. BASANO est une des victimes.

Plusieurs procédures ont été entreprises par M. BASANO, notamment une plainte déposée le 5 mai 2008 par-devant M. le Procureur de la République du Tribunal de Grande Instance de Paris, classées sans suite. Plusieurs courriers ont été expédiés aux Ministres de finances et d'Economie respectifs, sans aucune réponse consistante.

Depuis ces évènements, aucune autorité politique, administrative ou judiciaire n’a pu, su ou voulu lui indiquer une voie de recours, en violation de l’article 6 de la CEDH et ce, malgré de multiples démarches et procédures qui ont en permanence interrompu toute prescription.

 

 

FAITS ET PROCÉDURES

1. Attendu que le 11 avril 1991, le 16 avril et 2 mai 91 M. Joseph FERRAYÉ, chercheur français d'origine libanaise, dépose auprès de l'Institut National pour la Protection Industrielle (ci-après INPI) plusieurs brevets sur l'extinction des puits de pétrole en feu sans utilisation de la dynamite.

(Pièce n°1 : trois brevets enregistrés par l'INPI).

Qu'il charge de mission de gestion de ses brevets M. Christian BASANO à l'époque Expert-Comptable et Commissaire aux Comptes à Nice. Celui-ci devait discuter les conditions financières d'intervention sur les champs des puits de pétrole en feu et finaliser le contrat.

Que dans le cadre de cette mission, M. BASANO  entreprendra de négocier un contrat avec les autorités de Koweït.

Que dans ce contexte, M. BASANO et ses collaborateurs furent invités au Koweït.

Qu'une fois arrivés au Koweït, ils réalisèrent qu'une filiale de l'Institut Français du Pétrole, Horwell, s'était emparée du marché en exploitant sans licence les procédés brevetés par le mandant de M. BASANO, l'inventeur Joseph FERRAYÉ.


2. Attendu qu'une telle situation ne peut s'expliquer que par un dysfonctionnement des services de l'État français et notamment de l'INPI.

Qu'alors que toutes les vérifications nationales et internationales sur l'antériorité ont été effectuées avant la validation des brevets de M. Joseph FERRAYÉ, il est curieux de constater que l’Agence Horwell est une filiale de l'Institut Français du Pétrole (I.F.P.), contrôlée à 33% par la holding Isis contrôlée par l'I.FP. à 60%.

Que le dysfonctionnement devient compréhensible lorsqu'on sait que l'Institut Français du Pétrole est placé sous autorité du Ministère de l'Industrie et du Commerce Extérieur et que l'on découvre que c'est ce ministère qui a recommandé Horwell auprès de la Kuwait Petroleum Company pour une négociation de contrat d’utilisation des procédés des brevets dont il n'avait en aucun cas obtenu la moindre licence de la part de l’inventeur.

3 - Attendu que pour comprendre le lien entre le dépôt des brevets à l'INPI et l'exploitation frauduleuse qu'en fait l'Agence Horwell, il faut savoir d'une part que le 26 juillet 1991, M. Dominique STRAUSS-KAHN est Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce Extérieur en plein exercice dans le Gouvernement de Mme Édith CRESSON, alors Premier Ministre sous la Présidence de M. François MITTERRAND.

Que d'autre part, c'est bien M. Dominique STRAUSS-KAHN, en sa qualité de Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce Extérieur, qui écrivait à M. Hammoud Abdallah AL RAQBAH, Ministre du pétrole de l'Émirat du Koweït, une lettre qui engageait l'État français et dans laquelle il recommandait l'Agence Horwell.

Qu'enfin le détournement par l'Agence Horwell des brevets enregistrés à l'INPI a été particulièrement facilité par le Décret n° 91-432 du 13 mai 1991, signé Michel ROCARD, Premier Ministre de l'époque, qui a mis l'INPI sous l'autorité directe du Ministre de l'Industrie qui était Dominique STRAUSS-KAHN.

(Pièce n° 2 : décret pris par Michel ROCARD)

Qu'il est clair, à partir de tout ce qui précède, que M. le Ministre Dominique STRAUSS-KAHN fut très bien informé du dépôt de ces brevets, puisque l'INPI, dépositaire, était l’un de ses services et qu'il a très simplement affecté l'exploitation des brevets nouvellement déposés à la société Horwell qui n'était à l'époque des faits qu’une coquille quasiment vide, comme l'atteste le relevé du registre de commerce (R.C. Nanterre B 317385433).

(Pièce n° 3 : relevé Infogreffe  Horwell).

Que dans ce contexte cette lettre du 26 juillet 1991 de M. Dominique STRAUSS-KAHN, Ministre Délégué auprès du Ministre d'État chargé de l'Industrie et du Commerce Extérieur engage totalement la responsabilité de l'État français.

M. le Ministre,

J'ai été informé de l'intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium  français conduit par Horwell en vue d'éteindre des puits sur certains champs pétroliers de votre pays.

Le gouvernement français est très sensible à cette intention.

Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu'il a dans les capacités de ce consortium de mener à bien une telle mission.

En espérant que les négociations en cours pourront aboutir aussi vite que possible, et en vous remerciant pour votre aide, je vous prie de croire,
M. le Ministre, à l'expression de mes sentiments les meilleurs.

(Pièce n° 4 : courrier de Dominique STRAUSS-KAHN)


Que cette responsabilité sera totale d'abord dans ce détournement des procédés d'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït.

Qu'elle le sera ensuite, dans l'attribution illicite du marché d'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït à Horwell en lieu et place de l'équipe conduite par M. BASANO.

Que cette responsabilité sera enfin pleine et entière dans l'usurpation des identités qui finira toute la manoeuvre frauduleuse et le détournement des fonds, dont celle de M. Christian BASANO pour ouvrir des comptes, sans avis des titulaires, où transiteront des sommes dont les concernés ne seront jamais les bénéficiaires.

 

4. Attendu que ces sommes seront strictement conformes aux devis établis par M. Christian BASANO.

Que les comptes avaient pour titulaires exactement les partenaires de M. Christian BASANO.

Que l'exposant montrera qu'une société, dont M. Christian BASANO sera porté associé à son insu, déjà liquidée en France, sera utilisée pour signer le contrat de transfert des fonds dans les comptes à identités usurpées légalisés en pleine conscience par l'Ambassade de France au Koweït.

Qu'il ressort de tous ces éléments que l'État français a commis des fautes lourdes.

5. Attendu que dès l’envoi de cette lettre précédemment reproduite, un mécanisme de nuisance et de répression contre M. BASANO s'est mis en place.

Qu'ainsi il fallait déstabiliser M. Christian BASANO, témoin gênant d’une vaste escroquerie financière internationale. Il sentira la menace de mort peser sur lui et ses collaborateurs pendant tout leur séjour au Koweït. L'ambassadeur de France en poste, M. Jean BRESSOT, les recevra avec des menaces verbales.

Que quelques années plus tard, il sera radié du tableau de l'Ordre des Experts-Comptables sous le prétexte d’un retard de paiement de 1 913,12 € puis sera soumis à un contrôle fiscal injustifiable.

Qu'on se rappellera que la France a déjà maintes fois a été condamnée par la C.J.E. pour des radiations similaires et des pratiques semblables.

Qu'il est aussi à noter que sur le contrôle fiscal, la Direction Générale des Impôts refusera de donner des réponses attendues par les autorités administratives américaines et que la Banque Royale du Canada, qui s'est proposée en témoin de l'enquête, n'a eu de la D.G.I aucune interrogation.

Qu'ainsi ce contrôle fiscal n'avait d’autre but que de nuire à M. BASANO.

 

6. Attendu qu'en sa qualité d'épouse de M. Dominique STRAUSS-KAHN, Mme Anne Sinclair, haute personnalité de TF1, a fait annuler le reportage sur l'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït préenregistré dans l'émission « Sans aucun doute » du 12 mai 2000.

Que la journaliste Sophie COIGNARD dans son livre Le rapport OMERTA 2002 interroge le journaliste Bernard NICOLAS qui avait fait un reportage sur cette affaire et était présent sur le plateau de l'émission du 12 mai 2000.

Que celui-ci (page 261), à la question : Vous avez été victime de censure dans l'exercice de votre métier ? répondra :

Plusieurs fois. Dès qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1...

Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien COURBET.

Dans la journée une auto-publicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique STRAUSS-KAHN ?... J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fut mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi... Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite... »

Que dans l'article de la revue Entrevues, ce reportage est visible.

(Pièce n° 5 : Entrevues : Reportage censuré Affaire étouffée)

Que M. Christian BASANO figurait dans ce reportage  censuré.

Que de son côté M. Denis ROBERT, qui a dénoncé les mécanisme de corruption du système Clearstream écrira dans son deuxième livre sur l'affaire Clearstream, La boîte noire au chapitre 13 :

L'expert-comptable niçois, Christian BASANO, est un héros malheureux d'une histoire très complexe liée à l'affaire du Golfe. Au lendemain du conflit, des Koweitiens aidés par des complices occidentaux auraient détourné 16 milliards de dollars provenant de l'aide internationale (et donc des banques de plusieurs pays). Ces fonds devaient en principe financer l'extinction des puits de pétrole koweitiens, selon une méthode imaginée par un chercheur génial ayant déposé un brevet. Christian BASANO était alors un proche de ce chercheur. Avec lui, il avait créé une société et envoyé des photocopies de son passeport pour obtenir un visa koweïtien.

L'affaire BASANO a commencé quand ce dernier s'est rendu compte, quelques années plus tard, qu'on s'était servi de son identité et de ses papiers pour transférer, via une banque hollandaise, des fonds provenant du Koweït. Ces fonds sont investis en titres grâce à un compte non publié de Clearstream. Christian BASANO se déplacera jusqu'à Luxembourg et livrera ses documents aux autorités grand-ducales. On y trouve la liste des références précises de tous ces comptes.

(…).

Texte complet de l’assignation à télécharger ici en pdf

 

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 17:01

 

 

La poussée de violences dans le monde arabe et particulièrement en Libye a fait trembler les Bourses mondiales, en net recul mardi, et flamber les cours de brut, sur fond de craintes d'approvisionnement en gaz et pétrole.

Tokyo (-1,78%) et Hong Kong (-2,11%) ont chuté en clôture, et Paris (-1,22%), Londres (-0,64%) et Francfort (-0,15%) reculaient également peu avant 15H00 GMT. Fermée la veille, la Bourse de New York a ouvert en baisse, le Dow Jones perdant 0,33% et le Nasdaq 1,35%.

La Bourse de Milan, qui avait chuté lundi de 3,59%, a cédé 1,80% à la reprise de la séance mardi après-midi, retardée en raison d'un "problème technique".

Première source de préoccupation: le pétrole, qui a atteint des niveaux inédits depuis 2008, en raison principalement de l'escalade meurtrière en Libye, l'un des principaux producteurs d'or noir en Afrique, qui fait peser une menace directe sur l'approvisionnement.

Les prix du pétrole s'envolaient de près de 8% à l'ouverture à New York, le baril s'échangeant à 92,92 dollars. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord avait atteint un pic à 108,57 dollars dans la matinée, un prix inédit depuis septembre 2008.

"Si les troubles en Libye s'étendent au reste de la région, les prix du pétrole pourraient grimper à des niveaux record", a prévenu Torbjorn Kjus, analyste chez DnB NOR.

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s'est dit prête à réagir "si cela s'avérait nécessaire", alors que les Etats-Unis ont appelé mardi à Ryad l'ensemble des pays producteurs de pétrole à accroître leur production en réponse à l'envolée des cours du brut.

La situation dans le monde arabe a créé une réaction en chaîne au sein du monde économique. Outre la paralysie des économies des pays concernés -tourisme en berne, Bourses ou banques fermées-, elle touche de plein fouet les entreprises qui y sont implantées.

L'insurrection qui frappe la Libye a déjà commencé à freiner la production d'hydrocarbures du pays: les livraisons de gaz libyen par le groupe pétrolier italien ENI ont ralenti, et le groupe pétrolier espagnol Repsol a suspendu ses activités en Libye.

Mais la crise en Libye frappe également les sociétés dans les secteurs du tourisme ou celles ayant de gros besoins pétroliers, à commencer par les compagnies aériennes.

A la Bourse de Paris, le titre du groupe Air France-KLM chutait fortement (-3,29%), directement pénalisé par l'envolée des cours du pétrole. Même chose à Francfort pour Lufthansa.

"Si les tensions se maintiennent il faudra que la compagnie (Air France-KLM) fasse payer au voyageur le surcoût lié à l'envolée de l'or noir", a averti un analyste parisien.

L'euro a reculé dans la matinée, avant de se stabiliser à 1,3676 dollar.

"Le marché est entièrement focalisé sur la situation au Moyen Orient et en Libye, où la situation est totalement incertaine", a déclaré Teppei Ino, analyste de Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ.

"Les investisseurs fuient les actifs risqués en raison des tensions en Afrique du Nord et au Moyen-Orient et de la baisse des Bourses asiatiques", a-t-il ajouté.

A l'inverse, les traditionnelles valeurs-refuge, comme l'or ou le franc suisse, ont connu une réelle ascension. Le marché obligataire s'est également légèrement détendu, profitant du recul des marchés actions.

Outre l'approvisionnement en pétrole, l'inquiétude qui pèse sur les économies mondiales est de voir les troubles au Moyen-Orient plomber la timide reprise, la hausse du brut entraînant une augmentation des prix des carburants, puis des prix en général, dans des pays à peine remis de la grave crise de 2008/2009.



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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 07:10

  

Saif al-Islam Kadhafi a-t-il demandé l'asile à la Suisse ? La question est sur toutes les lèvres à Tripoli, où ce fils du colonel Kadhafi n'a plus laissé apparaître son crâne rasé depuis son départ pour le Forum de Davos, à la fin janvier.

Plusieurs sources libyennes affirment que celui qui est le président de la Fondation caritative Kadhafi, aussi celui qui veut moderniser et réformer le pays, a choisi de rester à l'étranger.

L'intéressé confirme d'ailleurs cette information dans une interview donnée au quotidien Asharq al-Awsat : il ne veut plus rentrer en Libye. Il précise qu'actuellement, il se trouve en Europe, sans préciser dans quel pays.

   

La raison de cet exil, qu'il affirme volontaire ? Officiellement, le fils du dictateur veut se retirer des affaires publiques et créer un centre de recherches sur la démocratie en Europe, et le faire si possible en Suisse.

Guerre des clans

Officieusement, Saif al-Islam (en arabe : le « glaive de l'Islam ») est victime de la guerre des clans en Libye. Dans l'interview au journal saoudien édité à Londres, il reconnaît d'ailleurs qu'un de ses proches collaborateurs, Juma Ataiga, a été arrêté le 2 février à Tripoli sur ordre de la justice.

« Les charges contre lui ont été fabriquées de toutes pièces pour le faire taire », souligne Saif al-Islam Kadhafi. Un autre de ses proches collaborateurs, Abdallah Othman, a également disparu.

Saif al-Islam ajoute qu'il a informé son père de sa décision de ne pas retourner à Tripoli au début de février. « J'ai senti que j'étais devenu un obstacle pour réformer le pays et pour le doter d'une Constitution », avoue le fils du colonel. Et d'ajouter que son père
« n'a eu aucun commentaire ».

Berne ne commente pas

Du côté de la Confédération helvétique, c'est motus et bouche cousue. « Nous ne commentons pas cette information », indique Lars Knuchel, porte-parole du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE).

Avant de préciser que toute personne détenant des documents de voyage valables en Suisse, peut rentrer ou quitter le pays quand bon lui semble.

Le DFAE ne veut pas s'exprimer non plus sur l'évolution des négociations entre la Suisse et la Libye. « Elles sont au point mort », indique pour sa part Saif al-Islam Kadhafi dans les colonnes d'Asharq al-Awsat : « Il n'y a eu aucun développement dans la résolution du problème. »

Preuve que l'opération de bons offices menée par le fils Kadhafi à Davos a échoué et qu'elle a précipité sa mise à l'écart du clan, ainsi que les malheurs de ses collaborateurs à Tripoli.

Il est allé trop loin

« Ses frères et sœurs, ainsi que son père, n'ont pas apprécié qu'il se mêle d'un dossier en main du gouvernement et dont le dernier mot revient à Kadhafi père », souligne une source diplomatique à Berne :

« Alors que le dictateur fête cette année ses 40 ans de règne, le patron ne supporte aucune critique. Et sa vieille garde fait tout pour écarter Saif al-Islam et ses idées progressistes. »

Dernièrement, ce dernier a en effet osé parler en public « d'une insuffisance dans le mécanisme d'application du pouvoir du peuple et de la démocratie, et des questions liées aux libertés et à la presse ». Un crime de lèse-majesté alors que son père se présente
comme le « roi des rois » en Afrique, en prenant récemment la présidence de l'Union africaine.

En disgrâce à Tripoli

Ahmed Ibrahim, un des fondateurs des comités révolutionnaires, colonne vertébrale du régime, a ainsi jugé les sorties médiatiques de Saif al-Islam Kadhafi très dangereuses. Mouammar Kadhafi a également conseillé à son fils de se calmer.

Quant à son frère Moutassim, un des prétendants à la succession du colonel Kadhafi, il a été aussi très virulent. Il a estimé que « l'Etat des masses » n'a aucune leçon à recevoir de personne.

Sa fondation à Genève ?

Selon nos informations, Saif al-Islam Kadhafi a fait savoir aux autorités suisses qu'il souhaite installer à Genève sa nouvelle fondation sur la démocratie. « Il désire profiter des réseaux de l'ONU et des ONG présents dans cette ville », indique une source diplomatique helvétique :

« Pour lui, c'est une manière de s'éloigner de Tripoli et de la situation tendue qui y règne. Il ne sera pas là pour faire de la propagande pour le régime libyen. Il veut jouer le rôle d'un Henry Dunant moderne, capable de mener des actions de bons offices. »

Mis au parfum à Davos, Berne n'y trouve rien à redire. La Confédération est bien consciente qu'elle pourra jouer cette carte pour trouver une issue à la crise qui l'oppose à la Libye.



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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 03:37

L'un des plus violents séismes de l'histoire de la Nouvelle-Zélande, de magnitude 7, a frappé dans la nuit de vendredi à samedi vers 4 h 35 du matin, heure locale, (vendredi, 16 h 35 en France) l'île sud de la Nouvelle-Zélande, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS). Un bilan, encore provisoire, fait état de deux blessés graves -deux hommes âgés d'une cinquantaine d'années- et plusieurs blessés légers. Aucun décès n'est pour l'heure à déplorer. En revanche, si le bilan humain semble limité, les dégâts matériels sont considérables et pourraient atteindre 2 milliards de dollars néo-zélandais (1,12 milliard d'euros), a estimé Ian Simpson, directeur général de la Commission des tremblements de terre. L'aéroport international de Christchurch, principal accès au sud de l'île, a été fermé et la circulation des trains arrêtée en attendant de vérifier l'état du réseau ferré. A Wellington, le ministère de la Défense civile a décrété l'état de crise nationale. La police a bouclé le centre-ville de Christchurch, en raison d'informations faisant état de pillages, a indiqué l'inspecteur Mike Coleman en demandant à la population de rester chez elle. Appel à économiser l'eau Réveillés au petit matin, les habitants sont sortis, paniqués, de leurs logements et ont découvert des rues bloquées par l'écroulement de façades de bâtiments, jonchées de verre brisé et de voitures écrasées, des ponts effondrés et les canalisations de gaz coupées en plusieurs endroits. La moitié de la ville environ était privée d'électricité. Des témoins racontent que les gens se sont réfugiés dans les rues, parfois en pyjama, pour attendre la fin des répliques. Des rues qui ont parfois pris des allures de scènes de guerre. Les façades de nombreux bâtiments sont écroulées sur le bitume et sur des véhicules, laissant visibles leurs entrailles. Le maire de la Christchurch a appelé les habitants à économiser l'eau et a ne pas utiliser le réseau d'assainissement, rompu à de nombreux endroits, inondant parfois les rues. Les autorités ont également demandé de ne pas utiliser les téléphones mobiles afin de laisser les réseaux libres pour les secours. Les antennes sont en effet alimentées par des batteries qui menacent de s'épuiser. Pas de risque de tsunami L'épicentre, à une profondeur de 16,1 km se situe à une trentaine de kilomètres de la ville de Christchurch, la deuxième du pays avec quelque 340 000 habitants. Les experts du centre d'alerte au tsunami pour le Pacifique ont finalement exclu le risque de tsunami. La magnitude de ce tremblement de terre a été revue à la baisse par l'USGS, qui l'avait dans un premier temps évaluée à 7,4, puis à 7,2. Pour mesurer la puissance d'un séisme, l'USGS utilise la «magnitude de moment» (mw). Sur cette échelle, un séisme atteignant une magnitude d'au moins six est considéré comme fort

 

 

 

 

Pillages et couvre-feu dans le centre-ville

«Il y a des fuites de gaz, des conduites d'eau endommagées, des égouts coulant dans les maisons et beaucoup de câbles et de poteaux électriques rompus. C'est très dangereux de sortir dans la rue», a-t-il ajouté. La police a bouclé le centre de Christchurch, où un couvre-feu a été imposé de 19h à 7h du matin, en raison d'informations faisant état de pillages, a indiqué l'inspecteur Mike Coleman en demandant à la population de rester chez elle.

L'aéroport international de Christchurch, principal accès au sud de l'île, a été fermé pendant plusieurs heures, forçant des avions à se poser à Auckland et à Wellington, avant de rouvrir dans l'après-midi. Par ailleurs, la circulation des trains a été suspendue en attendant de vérifier l'état du réseau.

L'un des plus puissants séismes de l'histoire de la Nouvelle-Zélande

Les responsables de la défense civile ont expliqué le faible nombre de victimes par l'heure (4h35 du matin) à laquelle la secousse s'est déclenchée. Initialement mesurée par l'Institut américain de géophysique (USGS) à 7,4 de magnitude, elle a été revue à la baisse à 7. Des répliques continuaient à se faire sentir, mais les risques de tsunami ont été écartés par le Centre d'alerte aux tsunamis pour le Pacifique.

Le tremblement de terre, dont l'épicentre était situé à une profondeur de 16,1 km, a atteint une zone située à 30 km au nord-ouest de Christchurch, selon l'USGS. Ce séisme est l'un des plus puissants de l'histoire de la Nouvelle-Zélande, située sur la ceinture de feu à la frontière des plaques australienne et pacifique, et secouée par quelque 15.000 secousses chaque année. Le séisme du 3 février 1931, qui avait fait 256 morts, dans la baie de Hawke, sur l'Ile du Nord, reste le plus meurtrier à ce jour. 

 

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