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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 06:02

Obama mettra-t-il la main sur ben Laden, comme il l'a promis?

Ben Laden infos

Publié le: 15/01/09

Barack Obama, qui s'installera mardi à la Maison Blanche, a promis aux Américains de réussir là où George W. Bush a échoué en mettant la main sur l'ennemi numéro un des Etats-Unis Oussama ben Laden, mais il risque de se heurter aux mêmes difficultés que son prédécesseur.

"Oussama ben Laden est la baleine blanche de l'antiterrorisme américain", commente James Lewis, expert en antiterrorisme du Centre d'Etudes stratégiques internationales (CSIS), en référence au roman "Moby Dick" racontant l'inlassable poursuite par un marin d'un cachalot dont il a juré de se venger.

M. Obama a estimé mercredi que le chef d'Al-Qaïda restait la "menace numéro un pour la sécurité américaine", après la diffusion sur internet d'un message audio de ben Laden, qui met en garde le président élu contre l'ouverture de nouveaux fronts dans sa guerre sainte contre les intérêts occidentaux.

"Nous tuerons ben Laden, nous détruirons Al-Qaïda", avait-il même assuré lors de sa campagne, en accusant l'administration sortante d'avoir délaissé à tort cette traque en Afghanistan au profit de la guerre en Irak.

A l'approche de son investiture, M. Obama a nuancé cet ultimatum mercredi soir sur CBS, tout en affirmant qu'il comptait au moins isoler ben Laden.

"Je préférerais naturellement qu'on le capture ou qu'on le tue. Mais si nous parvenons à resserrer l'étau au point qu'il soit dans une cave quelque part et ne puisse communiquer avec personne, je pense que nous aurons atteint notre but de protéger l'Amérique", a-t-il dit.

M. Bush avait réclamé "mort ou vif" l'inspirateur des attentats du 11 septembre 2001, qui ont fait près de 3.000 morts aux Etats-Unis et conduit à l'invasion de l'Afghanistan.

Mais le terroriste, dont la tête est mise à prix 25 millions de dollars, reste insaisissable, caché selon les services de renseignement dans les zones difficilement accessibles aux confins de l'Afghanistan et du Pakistan.

Impuissante, l'administration Bush tâche désormais de minimiser l'importance opérationnelle d'une capture du chef d'Al-Qaïda.

Toutefois, "il n'y pas de raison de douter du fait qu'il soit vivant et qu'il joue un rôle de dirigeant du réseau au niveau stratégique", assure un responsable des services antiterroristes américains sous couvert de l'anonymat.

Et les experts s'accordent à reconnaître que sa mort ou son arrestation auraient une puissance symbolique considérable, à défaut d'affecter la force de frappe d'Al-Qaïda.

"L'intensité de la chasse à l'homme n'a pas diminué", fait remarquer James Lewis, du CSIS, mais "pour l'instant la solution consiste à faire voler des drones et traquer des extrémistes, non sans un certain succès". Le chef des opérations d'Al-Qaïda au Pakistan et son lieutenant ont ainsi été tués début janvier.

Barack Obama s'est lui aussi dit prêt à des frappes militaires ciblées au Pakistan contre ben Laden et ses alliés talibans avec ou sans l'autorisation d'Islamabad.

Mais la méthode est propre à s'attirer les foudres de l'allié pakistanais, qui dénonce la violation de sa souveraineté à chaque tir de missile américain - jamais confirmé - sur son territoire.

En outre, souligne M. Lewis, "la traque de ben Laden reste secondaire. Le problème c'est le Pakistan et le manque de contrôle gouvernemental sur les terroristes qui y sont réfugiés. Si on veut l'attraper, il faut d'abord stabiliser le Pakistan et remporter la bataille en Afghanistan".

La prochaine administration promet de s'y atteler.

En visite dans la région, le vice-président élu Joe Biden a assuré vendredi les dirigeants pakistanais que les Etats-Unis les aideraient à combattre les islamistes.

Quant à M. Obama, il aurait l'intention d'approuver les plans du Pentagone visant à envoyer 30.000 soldats supplémentaires en Afghanistan, où la rébellion a gagné du terrain depuis deux ans malgré la présence de plus de 70.000 soldats étrangers.

AFP : 15.01.2009 - 15:33:26

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 08:19

Près de 100.000 personnes ont manifesté samedi à Madison, capitale du Wisconsin, contre la loi réduisant les droits des syndicats de fonctionnaires dans cet Etat du Nord des Etats-Unis.

 

 

Un porte-parole de la police locale, Joel DeSpain, a indiqué que les protestataires étaient entre 85.000 et 100.000 ce qui équivaudrait à la plus grande manifestation dans cette ville paisible du Wisconsin depuis la guerre du Vietnam.

Cette manifestation fait suite à trois semaines de revendications publiques après que le gouverneur républicain, Scott Walker, a promulgué une loi abrogeant une grande partie des pouvoirs de négociations des employés de l'Etat.

La situation du Wisconsin est relativement symbolique car elle a provoqué de nombreux autres débats dans des Etats américains qui tentent de maîtriser leurs dépenses de fonctionnement.

Selon les républicains, ces mesures sont indispensables pour récupérer la maîtrise des déficits budgétaires. Les démocrates font valoir que leurs adversaires cherchent en priorité à étouffer les revendications salariales.

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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 02:01

Barack Obama a déclaré lundi 7 mars que l'Alliance atlantique examinait actuellement des options militaires concernant la crise en Libye. Le président américain, qui s'exprimait à l'issue d'un entretien avec le premier ministre australien, Julia Gillard, a dit que les deux pays étaient d'accord pour juger inacceptables les violences faites à la population par le gouvernement deMouammar Kadhafi.

La Maison blanche a par la suite indiqué qu'une intervention terrestre n'était pas exclue, précisant qu'une telle éventualité ne figurait toutefois pas dans la partie haute de la liste des options. "La possibilité de fournir une assistance militaire est sur la table parce qu'aucune possibilité n'est exclue", a ajouté Jay Carney, porte-parole de la présidence.

L'idée d'armer l'insurrection contre le régime de Mouammar Kadhafi figure donc parmi la liste des options à sa disposition, mais M. Carney a assuré qu'il serait"prématuré" de se lancer dans une telle opération à l'heure actuelle. "Sur la question (...) d'armer, de fournir des armes [à l'opposition], il s'agit de l'une des possibilités qui est à l'étude", a indiqué M. Carney lors de son point de presse quotidien.
 

LA LIBYE DÉNONCE UNE "CONSPIRATION" DE PARIS, LONDRES ET WASHINGTON

"Nous passons par plusieurs canaux pour discuter avec l'opposition, des groupes et des individus. Nous essayons d'en savoir plus sur ce qu'ils veulent", a remarqué le porte-parole. Mais sur la question précise de livraison d'armes, M. Carney a aussi indiqué qu'"il faut savoir ce qu'on fait lorsque l'on suit ce chemin. Ce serait prématuré d'expédier des tas d'armes vers une boîte postale de Libye orientale, il ne faut pas mettre la charrue devant les bœufs", a-t-il ajouté.

Dimanche, le chef de la minorité républicaine au Sénat américain, Mitch McConnell, avait appelé à réfléchir à l'armement des insurgés libyens, après que l'ancien diplomate et gouverneur démocrate Bill Richardson eut émis le même avis.

De son côté, le chef de la diplomatie libyenne, Moussa Koussa, a accusé lundi soir la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis de "conspirer" en vue de diviser la Libye. "Il est clair que la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis prennent maintenant contact avec ceux qui ont fait défection [et sont passés dans l'opposition] dans l'Est libyen", a déclaré M. Koussa lors d'une conférence de presse à Tripoli. "Cela veut dire qu'il y a une conspiration pour diviser la Libye", a ajouté le ministre des affaires étrangères.

 



 

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 08:51
AFP
obama_yes_we_can.jpg

Le président américain Barack Obama a imposé hier des sanctions à l'encontre du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et de ses proches à la suite de la répression menée par son régime contre les manifestants, a indiqué un communiqué de la Maison Blanche. Le président Obama a signé un décret présidentiel gelant les avoirs et bloquant tous les biens aux Etats-Unis du colonel Kadhafi et de ses quatre fils, précise le communiqué.

"Le gouvernement de Mouammar Kadhafi a baffoué les normes internationales et la morale élementaire et doit en être tenu responsable", a déclaré le président Obama dans ce communiqué. "Ces sanctions visent en conséquence le régime Kadhafi, mais protègent les avoirs qui appartiennent au peuple libyen", ajoute le président américain. "La violation continue des droits de l'homme, la cruauté contre son peuple et les menaces atroces du gouvernement libyen ont mérité à juste titre la condamnation forte et large de la communauté internationale", a affirmé Obama. "Nous nous tiendrons fermement aux côtés du peuple libyen dans sa demande d'accès aux droits universels et d'un gouvernement qui réponde à ses aspirations. Sa dignité humaine ne peut pas lui être refusée", a-t-il ajouté.

Un responsable américain qui a requis l'anonymat a affirmé que ces sanctions étaient destinées à encourager les membres du gouvernement libyen à faire défection. Obama indique dans le décret qu'il existait un "risque sérieux" que les avoirs de l'Etat libyen soient détournés par Kadhafi, des membres de son gouvernement et sa famille. Il affirme également que "les attaques prolongées" et le nombre croissant de Libyens qui cherchent refuge à l'étranger constituent "un sérieux risque" pour la stabilité du pays.

 

 

 

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 17:05

 

Le Texas s’apprête à donner aux étudiants et aux enseignants le droit de porter une arme dans les locaux de leur université, rapporte Associated Press. Plus de la moitié des membres de la Chambre des représentants de cet Etat du sud américain ont déjà signé la mesure, qui permettra le port d’arme dissimulée dans les universités. Le Sénat local, qui avait soutenu une loi similaire en 2009, devrait également donner son accord à cette nouvelle mesure.

Pour le sénateur de San Antonio Jeff Wentworth, les étudiants sont actuellement des «cibles faciles» si quelqu’un ouvre le feu dans une salle de classe. «Actuellement, la seule option est de se cacher derrière son bureau ou de faire le mort», a déclaré un porte-parole de l’association Students for concealed carry on campus («étudiants pour le port dissimulé sur le campus»), qui compte 43.000 membres dans le pays et qui diffuse des vidéos comme celle ci-dessous.

Le texte de loi est notamment soutenu par le gouverneur républicain de l’Etat Rick Perry, à qui il arrive de prendre son arme avec lui lors de son footing du matin. Des victimes du massacre de Virginia Tech, au cours duquel un étudiant avait tué 32 personnes dans l’université du même nom en 2007, ont fait le voyage jusqu'au Texas pour protester contre le texte de loi. Colin Goddard, qui avait survécu à la fusillade en faisant semblant d’être mort, a déclaré:

«C’était le jour le plus fou de ma vie avec une personne qui se baladait avec deux armes à feu. Je n’imagine pas ce que cela aurait été avec plusieurs étudiants et de nombreuses armes.»

La question du port d’arme dans les universités fait l’objet de débats houleux dans de nombreux Etats américains. Un étudiant de l’université de l’Idaho a récemment porté plainte contre son établissement sur la base du second amendement pour ne pas lui donner le droit de porter son arme dans son appartement, qui appartient au campus, rapporte le site Politics Daily. Le Colorado donne aux universités la possibilité de choisir si elles veulent autoriser les armes dans leurs bâtiments, mais la Cour suprême de l’Etat doit rendre un avis sur la question de savoir si les universités ont le droit d’interdire les armes dans leurs locaux. Le seul Etat à avoir tranché la question de manière définitive est l’Utah, qui a voté en 2006 une loi interdisant aux universités d’interdire les armes à feu (les étudiants ont donc le droit de porter des armes).

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 16:30
La puce RFID pour tous les américains en 2013

Le Projet de Loi sur la santé d'Obama, rendra obligatoire l'implantation d'une puce RFID, pour tous les Américains. 

Dans le Projet de Loi sur la santé, il est prévu que tous les Américains se verront implanter une micro-puce dans le but de créer un registre national d'identification, pour permettre un "meilleur suivit des patients en ayant toutes les informations relatives à leur santé".

Le nouveau projet de Loi relatif aux soins de Santé (référencé HR 3200), qui a dernièrement était adopté par le Congrès, contient (à la page 1001 du projet) l'exigence selon laquelle, tous les citoyens qui en dépendent (du système de santé) devront être "identifié", par l'implantation d'une puce sous-cutanée. 

En fait, cela était prévu depuis fin 2004, comme le prouve un document officiel de le FDA. Ce document de la FDA ("Food and Drug Administration"), daté du 10 décembre 2004, et intitulé "Class II Special Guidance Document: Implantable Radiofrequency Transponder System for Patient Identification and Health Information" ("Document d'orientation spéciale de classe II: Système de Transpondeur Implantable à Radiofréquence pour l'Identification des Patients et les Informations Relatives à la Santé").(1)

Dès 2004, l'implantation d'une puce pour les "patients", contenant des "informations relatives à la santé" était donc déjà à l'étude.(2
)

Dans le Projet de Loi, intitulé: "America's Affordable Health Choices Act of 2009" ("Loi de 2009 concernant les choix de santé financièrement abordables de l'Amérique") (3). On peut lire dans le paragraphe: "Subtitle C - National Medical Device Registre" ("Sous-titre C - Registre National des Dispositifs Médicaux"), qu'un fichier de toutes personnes, ayant ou ayant eu, un dispositif implanté dans le corps est prévu:

"Le "Secretary" établira un "registre national des dispositifs médicaux" (appelé dans le présent paragraphe un "registre") afin de faciliter l'analyse de la sécurité (des dispositifs) après la commercialisation et les résultats des données de chaque appareil qui… ...est ou a été utilisé dans ou sur un patient…". (Le "Secretary" étant défini comme le "Ministère de la santé et des Services Sociaux").

Donc, toutes les personnes ayant reçues la micro-puce, seront répertoriées dans un nouveau fichier, qui sera mit en place exprès, il n'existait pas auparavant. Sous prétexte de mieux assurer les soins médicaux et de préserver la santé des individus, la population sera concrètement marquée avec une puce électronique et fichée.


Un marquage obligatoire prévu pour tous les Américains, à partir de 2013.

A la page 1006 du projet, figure une précision sur la date d'entrée en vigueur du dispositif:
"ENTRÉE EN VIGUEUR. - Le ministre de la Santé et des Services Sociaux mettra en place et commencera la mise en œuvre du registre en vertu de l'article 519(g) de la Loi fédérale sur la nourriture, les médicaments et les produits cosmétiques, comme cela a été ajouté à partir du paragraphe, pas plus tard qu'à la date qui correspond a 36 mois après la date de promulgation de la présente Loi, sans égard au fait que les réglementations définitives pour établir et exploiter le Registre aient été promulguées ou non à partir de cette date."

Par conséquent, trente-six mois à compter de la date de mise en place de la Loi, cela nous donne trois ans. Donc 2013 est l'année où le marquage obligatoire devrait commencer. Et vous noterez que, cela entrera en vigueur même si aucune réglementation sur son usage n'ait été adoptée. Qu'il y est eu ou non, un encadrement 
définit au préalable sur l'utilisation du "Registre". Donc, ils s'accordent clairement le droit de pouvoir faire ce qu'ils veulent. (4)

Voici un reportage de la chaine "abc 7" sur l'implantation de la puce RFID à des fins médicales:

 

 

Arrivera-t-on à une "instrumentalisation de l'être humain", qui verra ce dernier pouvoir être "influencé" au bon vouloir des autorités gouvernementales?

Et oui, n'en déplaise à certains, Obama n'est pas le "Messie" annoncé de manière dithyrambique par beaucoup, qui voyaient en lui le "sauveur de l'Amérique". C'est bien tout le contraire qui se produit. Ce n'est qu'un pantin docile, une marionnette obéissante qui oeuvre pour assurer la mise en place d'un "Nouvel Ordre Mondial", qui ne sera là que pour assurer la main-mise des forces du Mal sur la population de la planète toute entière.

Nous avons donc là un "pucage" réel et concret qui sera mit en place, ce n'est plus de la science-fiction. Nous arriverons à une "instrumentalisation" en règle des individus. Une instrumentalisation régie par des lois votées légalement par les Assemblés et les Parlements des différents pays (ça n'est prévu pour l'instant qu'aux Etats-Unis, mais par la suite cela se produira dans les autres pays, c'est certain). Et rendue obligatoires et systématiques. De plus, derrière ce système proprement Fasciste, se cache des possibilités très sournoises et insoupçonnées, qui feront envie à tous les dirigeants. C'est-à-dire de disposer d'une population parfaitement contrôlable, malléable et bien-sur corvéable à merci.
 
Avec le système de liaison sans-fil "Wifi", qu'en sera-t-il lorsque les autorités déciderons - Toujours soi-disant "pour notre bien" ou le "bien de la Collectivité" - de se servir de la puce en question pour "influencer" les gens, d'une manière ou d'une autre?
Vous refusez de travailler 10 heures par jours? Qu'à cela ne tienne. Que ça soit l'Etat, la Région, le Département, les employeurs... Ils n'auront qu'à pianoter sur un clavier les commandes adéquates, et le "programme" choisit, activé pour donner des ordres vers le cerveau par le biais de la puce, fera le reste.
Quoi ! Vous refusez d'être payé 600 Euros par mois? Et bien de nouveau, il n'y aura qu'a taper sur un clavier d'ordinateur et le tour sera joué. Les employés et les ouvriers seront alors tous bien content de travailler 10 heures par jours, en gagnant 600 Euros par mois.

Sans parler de la publicité, y aura-t-il des manipulation aussi de la part des fabricants et des vendeurs, (messages subliminaux dans les spots de pub pour "activer" un désir "immédiat" d'acheter) pour faire augmenter les ventes de tel ou tel produit? Quand on sait que l'augmentation de la demande favorise une montée de la côte de l'action en Bourse, vous imaginez les profits réalisés. Et l'avantage pour eux, d'avoir un système réceptif, contrôlable à distance (Wifi, GPS) pouvant avoir une action immédiate sur le cerveau humain, et le rapport avec les images publicitaires à la télévision.

Parce que, un informaticien qui s'est fait implanter une puce RFID dans la main, a fait plusieurs expériences (donc sur lui-même). Et il s'est aperçu que l'on pouvait introduire, même si cela peut sembler incroyable, c'est vrai, un virus informatique dans la puce (comme vous pouvez le voir sur ce reportage de la chaine BBC ci-dessous). Il passe sa main devant le scanner, et on peut voir sur l'écran, qu'il y a un programme différent qui apparait, en plus du programme initial de la puce. Il s'agissait d'un "virus", mais si un virus peut entrer, ça veut dire que n'importe quels programmes informatiques peut y pénétrer aussi. Quand sera-t-il de l'indépendance des individus, quand un programme extérieur agira à distance sur le puce RFID?
 



Et en France

 
 

 

 

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 19:34
USA : Des protestations secouent aujourd’hui le Wisconsin
PRENSA LATINA

17 Février 2011 - Washington - Les manifestions secouent aujourd’hui l’état US du Wisconsin en raison d’un projet de loi anti-syndical présenté par le gouverneur Scott Walker, qui affronte de dures critiques au cours de seulement six semaines de mandat.

Depuis mardi dernier, des milliers de personnes manifestent contre un "plan" qui dépouillerait la majorité des employés des services publics de leurs droits à négocier les conventions collectives et les obligerait en plus à payer pour les retraites et la santé.

Walker a donné comme argument que sa proposition aiderait à réduire la dette publique du Wisconsin qui atteindra 3 000 000 000 de dollars dans les prochaines années.

Si le gouverneur parvient à son but, d’autres l’imiteront pour se décharger de la crise économique sur le dos des emplois publics, a estimé William B. Gould, professeur de Droit DU Travail à l’Université de Stanford.

C’est l’une des pires agressions contre les droits des travailleurs, a commenté Kim Anderson, présidente de l’Association de l’Education Nationale.

Pour Kevin Gibbons, leader syndical de l’Université du Wisconsin, Walker a utilisé la crise économique comme excuse pour porter atteinte à un corps professionnel.

La presse souligne que ces manifestations sont les plus importantes à Madison depuis des dizaines d’années]] et elles sont centrées autour du Capitole, où le texte est débattu.

Devant l’absence massive d’enseignants, les autorités ont suspendu la veille la journée scolaire dans la capitale de l’état.

Cependant que l’équipe de football Green Bay Packers qui a gagné récemment le "Super Bowl", a appuyé le droit des travailleurs à la négociation.

"La longue tradition du Wisconsin qui est de permettre aux employés du secteur public d’avoir leur mot à dire sur leur emploi a été en vigueur dans l’état depuis les années 30 du siècle dernier. Nous exhortons le gouverneur et l’Assemblée Législative de l’état à ce qu’ils ne leurs arrachent pas leurs droits.", remarque un joueur dans une déclaration.

Le Wisconsin a été le premier Etat à voter une loi complète de négociation des conventions collectives en 1959 et c’est à Madison qu’a été fondée en 1936 la Fédération Américaine des Emplois d’Etat

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 19:07
Dick Cheney traité de « criminel de guerre » et de « terroriste » (vidéo)
publié le mercredi 16 février 2011


Jeudi dernier, l’ancien vice-président américain Dick Cheney a rendu une visite surprise à un rassemblement de la droite conservatrice. A son apparition sur scène, certains militants, proches du Républicain libertaire Ron Paul, se sont mis à le huer avant de quitter la salle en signe de protestation. Malgré la majorité de supporters scandant« USA, USA, USA ! », l’un des réfractaires en profita pour traiter Dick Cheney de« criminel de guerre », ce qui n’a pas manqué de faire ricaner l’intéressé.

Quelques minutes plus tard, le sort s’acharna à nouveau contre le co-responsable des invasions d’Afghanistan et d’Irak  : des membres de l’association We Are Change -un mouvement civique réclamant une nouvelle enquête sur les attentats du 11 septembre 2001- ont réussi à s’approcher de Dick Cheney lors de son départ. Luke Rudkowski etJames Lane l’interpellent alors vigoureusement, sollicitant auprès de lui une réponse à une seule question :« Pourquoi avez-vous ordonné une non-intervention lors du 11-Septembre ? ». Il s’agit là d’une allusion autémoignage troublant de l’ancien ministre des Transports, Norman Mineta, devant la Commission d’enquête en 2003 : selon lui, Dick Cheney, réfugié ce matin-là dans le bunker souterrain de la Maison Blanche, était non seulement informé en direct de l’approche de l’avion qui allait heurter le Pentagone mais avait également ordonné à son assistant militaire de maintenir une procédure en cours de non-intervention.

A peine embarrassé par la question des activistes, l’ancien homme fort de l’Administration Bush qui a couvertl’usage de la torture s’éclipsa dans un ascenseur, laissant échapper, au moment où James Lane le traite de« terroriste », un étrange sourire.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 19:01
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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 20:04

Internet Freedom? There’s no app for that!” Le deuxième discours d’Hillary Clinton sur la liberté d’Internet, prononcé mardi à Washington, pourrait se résumer à cette aimable saillie à destination de tous les Steve Jobs de l’activisme en ligne. Un an après avoir posé la première pierre du “21st Century Statecraft” (le terme fourre-tout inventé par des spin doctors pour définir une diplomatie connectée), la Secrétaire d’Etat américaine a remis le couvert, en choisissant avec soin la séquence médiatique la plus propice.

Début 2010, son allocution était intervenue juste après l’incident entre Google et la Chine. Cette fois-ci, Clinton a patiemment attendu l’issue – positive – des révoltes tunisienne et égyptienne pour s’exprimer. Plus intéressant encore, elle a commencé son discours par une allusion à l’extinction momentanée d’Internet par le régime de Moubarak, avec un sens aigu du storytelling: “Quelques minutes après minuit, le 28 janvier, l’Internet a disparu en Egypte”.

Très rapidement, elle a cité l’exemple iranien et convoqué la figure de Neda, cette jeune fille tuée pendant les manifestations consécutives à la réelection de Mahmoud Ahmadinejad, propulsée martyre de la “révolution verte” et visage de la contestation contre le régime des mollahs. Après avoir loué le pouvoir émancipateur du web et sa prégnance dans les soulèvements populaires aux quatre coins du monde il y a quelques mois, la tête de pont de la diplomatie américaine a tenu à replacer les événements arabes dans leur contexte:

Ce qui s’est passé en Egypte et en Iran [...] relève d’un schéma plus vaste que le seul Internet. Dans chacun de ces cas, les peuples ont manifesté parce qu’ils ressentaient de la frustration vis-à-vis de leur situation politique et économique. Ils se sont levés, ont marché, ont chanté, les autorités les ont traqués, bloqués, détenus. Internet n’a rien fait de tout cela. Les individus l’ont fait.

Sans remettre en cause le rôle de Facebook après les émeutes de Sidi Bouzid ou l’importance d’uncanal “dégradé” dans une Egypte coupée du monde, ce constat peut sonner comme une lapalissade. Pourtant, il est tout sauf anodin. Dans l’après-Moubarak immédiat, Google et Facebook ont adopté une posture similaire, prenant soin de ne pas trop accentuer leur rôle dans des mouvements qui les dépassent très largement. Ainsi, la compagnie de Mark Zuckerberg a prisd’infinies précautions langagières pour ménager son implantation récente dans d’autres pays de la région. Après avoir opté pour le soft power systémique (voir l’image ci-dessous), Clinton a clairement changé de braquet, privilégiant “les gens”.

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