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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 18:32

 

143902_smcapet-20120127-jd591.jpg

 

 

Enfant gâté élevé dans le milieu du cirque socialiste,Yann Capet ne doit que son itinéaire que à son Nom et ses intrigues.

 

 "Le fils d'André Capet "ancien députe actuellement décédé link

 

C'est fait sa première dent  sur Charles François 1er secrétaire de section en l'évinçant pour les régionales .  link

chemin faisant le miracle fut que Malika Bouazzi alors suppléante de Philippe Vasseur aux élections cantonales  

alors 1er secrétaire de section ne s'attaque a lui en dénonçant les manipulations frauduleuses et le laxiste dont faisait preuve Philippe Vasseur .link

Celui-ci fut remplacé avant la fin de son mandat de 1er secrétaire par .....Yann Capet.

L'héritier s’emparât donc du trône .

Il ne lui reste plus que les richesses .

Va en pâtir Gilles Cocquempot ancien suppléant d’André Capet actuel député de la 7ieme circonscription de calais.

il se fera évincé.link

Que reste t-il a conquérir croître ses mandats avant la fin du cumul !

La mairie bien sur ! car le non cumul ils sont pour mais pas toute suite .

Alors Yann Capet s’indigne Natacha Bouchard déjà Candidate !

ça parait évident non? puisque c'est la maire actuelle ?

Mais lui précise bien il ira seul !

Donc lui même est bien candidat ! Indignation !

Sans Jacky Henin avec son front de Gauche ou autre( puisque le communisme a disparut  ).

Ils disent toujours ça avant le second tour, après ils finissent par cirer les bottes des bolcheviques.

 

Alors Yann Gâté peut rêver seul ...... 

Mais que reste t-il de l'antisarkosiste ?

Le Label PS ne sera t-il pas un fardeau aux prochaine élections ?

 

 

 

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 13:36
Natacha Bouchart (UMP), Jacky Hénin (PC) et Yann Capet (PS)

mardi 29.03.2011, 06:00

Marcel Levaillant est officiellement conseiller général de Calais Sud Est. Marcel Levaillant est officiellement conseiller général de Calais Sud Est.

 

L'abstention et le FN sont les grands gagnants des cantonales sur Calais, comme partout en France. Analyses par trois leaders politiques calaisiens.






Natacha Bouchart,

« Nous n'avons pas perdu de voix »


« La population ne se sent pas concernée par les Régionales et les Cantonales... Les compétences de ces institutions ne sont pas visibles et, en zone urbaine, cette sensation est encore plus forte. » Le maire de Calais regrette cette forte abstention : « Les politiques de tout bord doivent se remettre en cause... Les gens ne les supportent plus. Il y a aussi les décisions nationales qui prennent un temps considérable à être répercutées sur le terrain. Les strates administratives sont trop nombreuses, trop lourdes... Le mal est profond. Les électeurs marquent leur mécontentement en votant aux extrêmes. » A ce sujet, Natacha Bouchart dénonce aussi bien le vote communiste que frontiste : « On banalise trop certaines valeurs des communistes tout comme celles du FN. Le Front national a des valeurs qui ne nous correspondent pas. Mais ces partis politiques se sont mobilisés et c'est cela qui est dangereux pour la démocratie. » Sur Calais, elle assure que Jacky Hénin ne progresse pas : « Il fait juste ses voix, et il prend celles de l'extrême gauche. Et ça, cela ne le dérange pas... Il n'est vraiment pas clair. » Quant au PS local, « il a perdu beaucoup de voix, mille voire mille cinq cents... Mais il a sauvé ses sièges, dont un pour 6 voix. » Natacha Bouchart est plus indulgente avec les candidats du MSDC : « Les scores du MSDC ne sont pas des choses qui comptent à mes yeux... Je me répète, les cantonales ne sont pas des municipales. C'est un nouveau parti, il faut lui laisser le temps de s'installer. Ils ont monté une marche, ils doivent continuer à mettre en place leur mouvement et se faire connaître. » Enfin sur les résultats de l'UMP, Natacha Bouchart semble satisfaite, « nous n'avons perdu aucune voix, malgré l'abstention. Nous avons sauvé un canton et nous aurions pu en gagner un autre... Il y a pire comme bilan. »

Jacky Hénin,

« Bilan satisfaisant »


« Si vous me demandez le bilan global, je dirais qu'il est particulièrement satisfaisant. La gauche rassemblée gagne cinq cantons sur six, c'est plus un par rapport à avant les élections. Et sur le sixième (le canton nord-ouest, ndlr), - et je parle maintenant de notre formation politique -, nous sommes en nette progression. Nous avons eu un conseiller général réélu, Marcel Levaillant, et nous avons été tout près d'en avoir un deuxième. Au premier tour, le PCF devance tous ses concurrents de la gauche sur Calais. Et, tant pis si ça en peine certains !

Ce qui est insatisfaisant dans ces élections, c'est que le gouvernement n'a rien compris au vote sanction contre la politique nationale auquel nous avons assisté. On nous annonce encore des augmentations de 30 % de l'électricité sur cinq ans et pendant ce temps les salaires, eux, n'augmentent pas. » Ses mauvais résultats, c'est dans les cantons d'Ardres et d'Audruicq que le Front de Gauche les faits. Sans surprise, à l'évidence, et même sans regret à en croire Jacky Hénin pour ce qui concerne le canton d'Audruicq : « Olivier Majewicz est un bon conseiller général. Et je me réjouis que Ludovic Loquet (MRC) ait battu l'UMP à Ardres. » L'ancien maire de Calais en est convaincu : « Le PCF reprend du poil de la bête sur ce territoire. Après les élections municipales de mars 2008, on nous a dit finis. Septembre 2009  : le PCF fait 30 % à Calais aux Européennes ; aux régionales 2010, nous faisons 22,5 % et le PS 23,2 %. À chaque élection, chaque bataille, le PCF a re-progressé. Bien sûr, la gauche ne gagne que rassemblée. Si on regarde tranquillement les chiffres, le rassemblement PC-PS peut bouter cette majorité "UMP-FN-apolitique" hors de la mairie aux prochaines municipales. Et je n'oublie pas les Verts, mais je fais abstraction de cet épiphénomène d'entre deux-tour porté par M. Gest (allusion à la polémique sur le logo d'Europe Écologie les Verts figurant sur la propagande de Jacky Hénin alors qu'il n'était pas en confrontation avec un candidat FN, et sans l'autorisation des Verts locaux). Voilà déjà deux fois que ce monsieur Gest appelle à voter pour la droite. » Il se trouve que Francis Gest n'a effectivement pas apprécié que le logo de sa formation apparaisse dans la communication de Jacky Hénin, mais il n'a pas donné de consigne de vote. Donnée au niveau national, la consigne verte était de voter à gauche.

Cela étant le PCF, chiffres à l'appui, fera valoir sa position de leader la prochaine fois que l'union de la gauche sera d'actualité à Calais.



Yann Capet (PS),

« Nous avons mis fin à la confusion »


Le PS local se reconstruit et cette reconstruction passe par des échéances comme les cantonales : « Nous avons mis fin à la confusion créée par les candidats perdus et ceux qui se disent socialistes et qui ne le sont pas... Avec le premier tour, on sait réellement qui sont les socialistes... » explique le conseiller régional, secrétaire de la section locale PS, Yann Capet : « Aux régionales, le PS était devant. Aux cantonales nous sommes derrière le Front de Gauche. Mais nous avons renouvelé nos candidats et ce sont les seuls qui ne se sont pas trompés de discours pendant la campagne. Ils ont parlé du Département et des actions qu'il mène. Alors on ne peut pas se gausser de tels résultats. » D'ici les municipales, il y aura les législatives, « le sortant devrait repartir et être devant », et la présidentielle « où nous aurons le même constat ».

« Et je ne vois pas pourquoi aux municipales, le PS ne serait pas présent au premier tour de cette échéance... Il n'y a plus de maire de gauche sortant, ni d'union de la gauche... Je pense que le Front de gauche est sur la même longueur d'onde. Au premier tour on s'exprime et au second tour on se rassemble. » Et cette échéance, les socialistes y travaillent déjà, « nous sommes sur le projet du territoire. » Mènera-t-il la liste à ces municipales ? « Je ne sais pas... Il ne s'agit pas non plus de se présenter à chaque élection, faire des scores pour faire des scores... » Un message personnel à Jacky Hénin ?

Les résultats du Front national l'inquiètent, « mais ce ne sont pas 40 % de xénophobes ou fascistes... On ne doit plus faire passer ce même message. Cela exprime plus de choses. Nous nous attacherons sur le terrain avec les élus mais aussi les battus et tous les militants à ne pas oublier cette donnée. »
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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 02:24
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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 02:22
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24 mars 2011 4 24 /03 /mars /2011 01:09
« On ne s'intéresse à la communauté musulmane de Calais qu'au moment des élections »

mercredi 23.03.2011, 05:07  - La Voix du Nord

 Hocine Metlaghi va créer une association qui «montre que nous existons en dehors des élections».Hocine Metlaghi va créer une association qui «montre que nous existons en dehors des élections».
|  LE VISAGE DE L'ACTUALITÉ |

Hocine Metlaghi conserve son sourire et une pointe de malice se lit toujours dans les yeux. Mais l'actualité politique locale n'est pas loin de l'énerver.

 

« Franchement, on se fiche de nous. Avant les élections, tout le monde nous ignore. La communauté musulmane, personne ne s'en soucie. Et puis, voilà que pour ces élections cantonales, on nous fait les yeux doux. Bizarrement, on commence à intéresser les candidats, qui montrent le bout de leur nez au Beau-Marais, où on ne les a jamais vus. La communauté musulmane devient intéressante au moment de voter. C'est quand même un peu fort ».

À titre personnel, l'ex-président de l'association des rapatriés de France trouve le jeu de certains politiques un rien indécent. « Juste avant les élections, on a assisté à la valse des partis politiques. Y'en a qui gagne des sous en ce moment, c'est la crêperie de la galerie marchande !

 » plaisante Hocine Metlaghi. « Les candidats se sont retrouvés là-bas pour prendre un café le samedi matin, avant de faire le tour des habitants, et le dimanche, c'est au marché qu'on les retrouve. Ils se font voir. On a même vu un candidat distribuer des gâteaux et des biscuits, comme on distribue du grain au pigeon. Mais personne n'est dupe. Ça me fait rire, mais ça me désole ».

Course aux musulmans

Sans parler des promesses d'embauche, faite aux électeurs rencontrés. « Mais je ne sais pas comment on peut faire des promesses avec l'argent qu'on n'a pas. Et puis, au bout du compte, c'est toujours les mêmes qui restent sur le carreau ».

Hocine Metlaghi n'accorde pas plus de crédit aux candidats ayant fait le choix d'un colistier ou d'une colistière issus de la communauté musulmane. « Avant les élections, on a assisté à une course aux Musulmans pour les avoir sur des listes, évidemment de façon à attirer la communauté musulmane. On voit même des candidats aller frapper aux portes, accompagnés d'un Algérien ou d'un Marocain » qui sert en quelque sorte de caution.

« Dans le fond, on peut comprendre. Il y a cinq cents familles algériennes, marocaines ou turques, essentiellement regroupées au Beau-Marais.

Avec chacune six ou sept enfants en âge de voter, ça peut faire basculer un vote »... Hocine Metlaghi le précise cependant avec conviction. « La communauté musulmane n'est représentée par personne. C'est totalement faux. Et pour ce qui est d'aller voter, on s'est tellement désintéressé de la communauté étrangère, qu'elle-même ne se sent pas attirée par la politique. Les gens ne se sentent pas concernés ».

Même pour contre-carrer un Front national par lequel la communauté se sent stigmatisée ? « On tente peut-être de nous séduire un peu plus parce que le Front national prend des proportions exagérées. Mais c'est un peu tard. On a été ignoré trop longtemps ».

Précisément, la communauté musulmane observe-t-elle à son égard une attitude raciste ou de rejet plus marqués ? « Pas plus qu'avant. Y'a toujours des propos déplacés, mais sans haine ». Ce qu'Hocine Metlaghi regrette cependant, c'est l'isolement peut-être d'une communauté discrète par nature et que les politiques locaux ignorent selon lui.

France-Maghreb

Aussi a-t-il pris l'initiative de créer une association qui puisse permettre de représenter la communauté étrangère. « Cette association s'appellera France-Maghreb. Les statuts seront déposés cette semaine ou la semaine prochaine. La vocation de cette association ne sera pas de faire de la politique et l'idée n'est pas que j'en sois le président. Il s'agit de faire voir qu'on est là, qu'on existe. Peu importe qui dirige. Le but serait social, d'orienter dans des démarches, d'aider les familles qui en ont besoin ».

La volonté est en somme « de se rassembler pour montrer qu'on existe, pour qu'on ne vienne pas nous faire les yeux doux seulement au moment des élections ». •

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 11:23
Micmac dans les professions de foi

mercredi 16.03.2011, 06:00

Marcel Pidou et Antoine Deguines Marcel Pidou et Antoine Deguines

 

Des professions de foi de Laurent Lenoir dans les enveloppes des électeurs de Calais Nord Ouest, mais manquantes dans celles de son secteur de Calais Centre.


Des enveloppes sans profession de foi de Marcel Pidou sur Calais Nord Ouest... Les deux candidats du MSDC se sentent floués et ont demandé à Antoine Deguines de déposer un recours au tribunal administratif de Lille La semaine dernière, la salle du Minck a été réquisitionnée par la commission de propagande, présidée par Jocelyne Rubanthel, juge au TGI, pour la mise sous pli des documents de campagne. «A la fin des opérations sur les enveloppes de Calais Centre, des personnes se sont rendu compte qu'il manquait des professions de foi de Laurent Lenoir...


Le président de la commission a dit :"Tant pis pour lui, il n'avait qu'à en donner assez." » assure Marcel Pidou, adjoint à la sécurité, candidat sur le canton Calais Nord Ouest. Il poursuit : «Nous sommes donc sûrs que des électeurs de Calais Centre n'auront pas la profession de foi de Laurent. » Par contre, le candidat du MSDC sur Calais Nord ouest ne savait pas que ses professions de foi ne seraient pas non plus dans toutes les enveloppes des électeurs de Calais Nord Ouest : «  L'explication est simple : les personnes chargées de la mise sous pli commencent par le canton Calais Nord Ouest. Elles ont placé dans l'enveloppe des profession de Laurent au lieu des miennes. C'est pour cela, qu'après pour le canton Calais Centre, il n'y avait plus assez de professions de foi de Laurent... Comme les documents sont tirés en grand nombre, 3 ou 4 000 en plus, l'erreur est supérieure à ce chiffre.» On ne le saura jamais, car quand les deux candidats ont voulu récupérer les professions de foi non distribuées de Marcel Pidou, le tout était déjà parti à la benne.

« Nous avons demandé à la préfecture de trouver une solution. Les représentants de l'Etat nous ont répondu que nous n'avions qu'à faire un recours après les élections. » explique l'avocat calaisien Antoine Deguines. La réponse n'est pas satisfaisante : «  Je ne comprends pas que les services de l'Etat ne régissent pas... Alors je vais demander au président du tribunal administratif de Lille dans le cadre d'un référé Liberté de trouver une solution. » Pour Antoine Deguines, il a le choix entre deux propositions : «  Soit il fait envoyer une seule profession de foi de Marcel Pidou à chaque électeur de Calais Nord Ouest, soit il fait envoyer une nouvelle enveloppe avec toutes les professions de foi... » Le tout d'ici dimanche.

Pour Marcel Pidou, sans l'étiquette d'un parti politique, « le combat était déjà difficile... Mais si plusieurs centaines d'électeurs ne reçoivent pas ma profession de foi, le combat devient inégal. Pourtant avec l'abstention qui sera forte, tout est possible... » Il y a aussi la barre des 5 % à dépasser pour obtenir le remboursement des frais de campagne. Là aussi le moindre document est utile... Philippe HENON
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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 15:41
Le MSDC sort la carte "proximité"
jeudi 10.03.2011, 06:00
De gauche à droite, Marcel Pidou et Catherine Danel, Laurent Lenoir et Malika Bouazzi, Cathy Vendel et Philippe Blet.De gauche à droite, Marcel Pidou et Catherine Danel, Laurent Lenoir et Malika Bouazzi, Cathy Vendel et Philippe Blet.

 

Trois candidats et trois suppléantes pour trois des quatre cantons renouvelables : en campagne, le MSDC se positionne avec un maximum de proximité.




Les candidats adaptent un programme commun aux différents cantons
Une fois encore, les candidats du MSDC, le mouvement des socio-démocrates du Calaisis, se justifient : ils ne proposent pas de candidat sous leur étiquette sur le canton de Calais Est pour ne pas gêner un conseiller général qui a fait du bon travail, qui a bien défendu son canton, en l'occurrence l'élu sortant Serge Peron. Mais cette combativité n'est plus de mise sur les trois autres cantons appelés au renouvellement les 20 et 27 mars. «  Alors que l'on a besoin d'un conseiller général qui soit le trait d'union entre les projets que nous portons et le Département, résume Philippe Blet, candidat pour Calais Sud Est. Un conseiller général doit aller au front et taper sur le bureau pour défendre son canton.

 
» un élu « de proximité », c'est ce que veulent aussi incarner Marcel Pidou pour Calais Nord Ouest et Laurent Lenoir pour Calais Centre. « L'enjeu, c'est de travailler dans la concertation pour faire des propositions collectives qui seront en phase avec les attentes des habitants de nos cantons, notent-ils d'une même voix. Parce que l'on n'attend pas la même chose dans chaque secteur géographique... » Insertion, emploi, éducation restent par contre les dénominateurs communs de ces candidats sur leur canton. « Car tout est lié, résume Catherine Darnel, suppléante de Marcel Pidou.Qui dit emploi dit insertion, qui dit santé dit insertion, qui dit éducation dit emploi...  » Soutien aux centres sociaux et maintien des personnes âgées à domicile doivent être les principaux axes de travail sur le canton. «  Je suis par ailleurs président d'une association qui travaille sur le Beau-Marais et dont le budget provient à 90 % du Conseil général... mais je n'ai jamais vu y venir le conseiller général », souligne Marcel Pidou.

La suppléante de Laurent Lenoir, Malika Bouazzi, travaille dans le secteur hôtelier. Elle connaît bien le potentiel de développement économico-touristique du canton de Calais Centre. « Je ne parviens pas à comprendre pourquoi il y a une section internationale en collège à Boulogne et pourquoi on n'en a pas à Calais, résument les deux candidats. Sans doute parce que le conseiller général est meilleur là-bas ! 

» Ils mettent en avant leur connaissance du terrain pour légitimer leur action, leur positionnement, leur vision du canton de demain. «  Il y a aussi besoin de sécuriser les collèges, c'est ce que nous, nous voyons. et cela n'est sûrement pas ce qui coûte le plus cher... à condition qu'il y ait une volonté. » Ce travail de proximité est aussi possible « grâce aux militants », le MSDC en revendique 120. « Ils ont assuré eux-mêmes la distribution de tous nos tracts » ajoutant par ailleurs qu'il est indispensable de favoriser la création de nouvelles zones d'activités économiques. « Indispensable pour l'accès à l'emploi », concluent Philippe Blet et sa suppléante, Cathy Vendel.
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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 07:45












  

 

 

Ce lundi a eu lieu une visite de fin de chantier à l'école de musique de la communautéd'agglomération de Blériot.

Un affaissement de toiture, a été constaté en fin d’année 2009.

Paradoxalement, le premier chantier a été de définir à qui revenait la responsabilité des travaux : A la communauté d’agglomération en charge de l’école de musique ? Ou à la commune, propriétaire des locaux ?

Les bâtiments n’ayant pas été transférés à l’agglomération comme ils auraient du l’être, à l’époque, il a été décidé de revoir ultérieurement les conditions de transfert et de confier, dans l’urgence, la maîtrise d’ouvrage (et le financement !) à l’agglomération.

CIMG5673.JPG

 

Pendant une période transitoire, l’école a été accueillie dans les locaux de la base de voile puis dans les préfabriqués du CLJ.

 

En ce qui concerne les travaux, l’agglomération Cap Calaisis a décidé, outre la réfection de couverture, d’effectuer la mise aux normes relative à l’accessibilité pour les Personnes à Mobilité Réduite (Loi du 11 février 2005 dite Loi Handicap) mais aussi d’améliorer les dispositifs de corrections acoustiques.

Une nouvelle charpente et de nouvelles tuiles ont été posées avec un isolant thermique de 20 cm d’épaisseur (nouvelles normes).

De nouvelles cloisons, avec un affaiblissement acoustique de 53 dB ont été implantées entre classes et couloirs ainsi qu’entre deux salles de classes.

Des faux-plafonds, avec un affaiblissement acoustique de 44dB ainsi que des portes acoustiques et des revêtements de sols réduisant les bruits de chocs ont été disposés dans les 5 salles de classes.

Des luminaires basse consommation, mais dont l’implantation permet de respecter la réglementation sur les intensités lumineuses, ont été installés.

CIMG5674.JPGLES PARTENAIRES DE CETTE OPERATION

La maîtrise d’Ouvrage  a été assurée par la communauté d’agglomération et la conduite des travaux par les services techniques.

Les Entreprises qui sont intervenues sur le chantier sont :

  • ESN : pour Démolition, Charpente, Couverture et divers

  • CHAMOIN : pour Cloisons, Faux-plafonds, Menuiseries intérieures

  • EUROTELEC : pour Electricité et Ventilation

  • PEINTURES DECORATION DU LITTORAL : pour Peintures et Revêtements de sols souples

Cet établissement comprend :

  •  
    • 5 salles de classes de surfaces différentes,

    • Un bureau,

    • Un sas d’entrée,

    • Un couloir de distribution.

 

QUEL COUT ?

Total des travaux 2010 : 185 449.00 € TTC

En 2011 une seconde phase de travaux d’amélioration des locaux est prévue :

  • Un nouveau revêtement de sol souple.

  • Le remplacement des menuiseries extérieures

Budget prévisionnel pour 2011 : 90 000 € TTC

Soit un coût total de 275 449,00 €

 

Réouverture des locaux aux élèves : le 3 janvier 2011



 

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 08:16

Transfuge de socialistes vers le MSDC 

 


Calaisis TV Transfuge de socialistes vers le MSDC
Philippe Blet débauche la suppléante de Philippe Vasseur aux cantonales

lundi 22.11.2010, 05:05 - La Voix du Nord

 Malika Bouazzi, ex-suppléante de Philippe Vasseur pour les cantonales, rejoint le MSDC de Laurent Lenoir et Philippe Blet.Malika Bouazzi, ex-suppléante de Philippe Vasseur pour les cantonales, rejoint le MSDC de Laurent Lenoir et Philippe Blet.
|  POLITIQUE |

C'est ce qu'on appelle une prise de guerre. Suppléante du conseiller général

 

socialiste Philippe Vasseur pour les cantonales de mars prochain dans le canton de Calais Centre, Malika Bouazzi a annoncé samedi qu'elle rejoignait le MSDC de Philippe Blet. « Le socialisme dans le Calaisis, je n'en peux plus. Lors d'une réunion, on m'a dit que je ne représentais que 4 % d'une certaine communauté ethnique, s'indigne l'ex-candidate socialiste d'origine maghrébine. Je ne suis qu'un visage à mettre sur une affiche pour rapporter des voix. J'ai l'impression que le PS calaisien est devenu raciste. » Tout au long de la conférence de presse, les attaques contre le système socialiste s'enchaînent. Outre Malika Bouazzi, trois autres personnes sont présentes pour crier haut et fort leur soutien au parti de Philippe Blet. Ex-militant socialiste, Valéry Duval a en lui eu assez « d'un système qui s'apparente à une secte. J'ai rendu ma carte au mois d'octobre quand j'ai constaté que malgré le refus des militants,
Philippe Vasseur serait le candidat du PS. On ne respecte plus l'avis de la base.
» De son côté, Malika Bouazzi réfute tout transfert à visée électorale. « Je ne viens pas pour briguer un poste de suppléante aux cantonales de mars avec le MSDC. Je perds mon statut de suppléante pour devenir simple militante. Après, je ne sais pas encore qui les responsables du MSDC choisiront comme suppléants... ». « On n'a recruté personne, ces gens sont venus spontanément nous rejoindre », se défend le président du MSDC. La nouvelle membre de son parti explique craindre des représailles de la part de ses désormais ex-camarades politiques. « Je sais de quoi ils sont capables de ce côté-là. Je pense que mon téléphone ne va pas arrêter de sonner dans les prochains jours... » A-t-elle averti Philippe Vasseur qu'il allait devoir chercher une autre suppléante pour mars prochain ? « Non, il apprendra ça par la presse comme tout le monde. » Le conseiller général appréciera
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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 21:40
Loppsi 2 : policiers réservistes ou « milice armée » ?

La formation et les fonctions des futurs volontaires inquiètent le syndicat Unité police, le PS et la Ligue des droits de l'homme.

Des policiers du commissariat de police du Xe arrondissement de Paris, le 6 février 2009 (Audrey Cerdan/Rue89).

 

C'est un article, relégué à la fin de l'interminable catalogue des dispositifs sécuritaires que comporte la Loppsi 2. Son nom : le 37 quater. Son objectif : étendre aux citoyens volontaires la « réserve civile » de la police nationale, créée en 2003 pour les policiers retraités.

Cela signifie que demain votre voisin de palier ou de table – Eric Ciotti, le rapporteur de la loi, entend notamment cibler les étudiants – pourra très bien être un réserviste de la police. Avec la possibilité de dresser des procès-verbaux et de porter une arme…

Seules conditions : avoir 18 ans, un casier judiciaire vierge et la nationalité française. La fonction sera rémunérée.

« Une milice armée »

Cette nouveauté scandalise le syndicat Unité SGP-FO Police, majoritaire chez les forces de l'ordre. Il s'est fendu d'un communiqué très virulent, le 27 janvier, assimilant cette nouvelle réserve à une véritable « milice armée ». Yannick Danio, délégué national du syndicat :

« Cela peut paraître choquant, mais il faut dire les choses. On ne va quand même pas revenir à des heures sombres de notre Histoire. »

 

Il s'agit de compenser la diminution du nombre de postes au sein de la police nationale et d'avoir « plus d'effectifs mobilisables en temps réel, et plus disponibles », expliquait le député UMP des Alpes-Maritimes le 27 janvier dans Libération. En particulier pour des évènements exceptionnels comme « des grands concerts ou le Tour de France ».

Mais l'article de loi reste très évasif sur les prérogatives de cette police supplétive, chargée d'assurer « des missions de soutien à la demande des fonctionnaires sous l'autorité desquels ils sont placés ou des missions de spécialistes correspondant à leur qualification professionnelle ».

Encore plus inquiétant, un amendement déposé par le sénateur UMP Jean-Patrick Courtois, rapporteur de la loi au Sénat, leur permet également d'effectuer des missions de « police judiciaire ».

Formation sur le tas et dérapages

En pratique donc, à l'exclusion des missions de maintien et de rétablissement de l'ordre public, ces policiers de seconde zone pourraient assurer à peu près toutes les fonctions de police.

Avec quelle formation ? C'est là que les choses se compliquent : « On ignore totalement en quoi consiste la formation de ces volontaires », gronde Yannick Danio.

« Qui va les encadrer, les briefer, les former ? Là se pose un vrai problème », reconnaît aujourd'hui Delphine Batho, députée PS membre de la Commission mixte paritaire, après avoir soutenu le principe lors de la première lecture.

La formation sur le tas « pourrait conduire à un certain nombre de dérapages, des réactions émotionnelles ou autres, imprévus parce que les réservistes n'y seraient pas préparés », redoute Dominique Noguères, vice-présidente de la Ligue pour les droits de l'homme (LDH).

« Renforcer le lien avec la population »

Lors des discussions à l'Assemblée nationale, Brice Hortefeux, instigateur de cette mesure, justifiait :

« Nous avons l'intention de développer ce dispositif car il donne entière satisfaction à la police nationale comme aux citoyens. »

 

Dans son rapport sur le projet de loi, présenté le 27 janvier à l'Assemblée, Eric Ciotti ajoutait :

« Ouverte à un public de volontaires et utilisée pour des missions plus étendues, la réserve civile permettrait de renforcer le lien entre la police nationale et la population. […]

Le potentiel de réservistes volontaires dont pourrait bénéficier la police nationale est d'autant plus élevé qu'il touchera les populations urbaines et étudiantes. »

 

Eric Ciotti propose une sécurité qui se rapproche des gens, en renouant avec la société civile. Un argument fustigé par Yannick Danio :

« Au contraire, l'Etat se désengage de sa mission de service public. Près de 2 000 emplois [1 925 exactement, ndlr] vont être supprimés dans la police en 2011, dans le cadre de la loi de finance votée à l'automne. »

 

« Que fait la gauche ? Que fait le PS ? »

Sollicitée par Rue89, Delphine Batho exprime désormais la crainte de voir ce texte dévoyé :

« C'est forcé que dans le contexte dans lequel on est aujourd'hui, la
réserve civile soit un palliatif à la diminution des effectifs. »

 

Devant le peu de réactions que suscite ce transfert de compétences spécialisées de la police vers le privé, inédit en France, Yannick Danio s'affole :

« Les parlementaires ne se rendent pas compte de l'importance d'une telle mesure. Il y a dans le milieu politique une vraie méconnaissance sur les questions de sécurité ».

 

Sur ce coup-là, une fois n'est pas coutume, il est rejoint par Dominique Noguères de la LDH :

« C'est absolument extraordinaire : on est dans une fuite en avant sécuritaire, avec une mesure populiste et une partie de la gauche, notamment au Parti socialiste, ne réagit pas. Je pense qu'ils ne mesurent pas les conséquences. Il faut vraiment qu'ils retrouvent leurs valeurs et leurs réflexions. »

 

Jean-Claude Urvoas, chargé des questions de sécurité au PS, admet que les différents évolutions du texte lors des allers-retours de l'Assemblée au Sénat ont rendu le PS beaucoup plus réticent :

« On est en train de parler d'un texte qui n'est plus du tout ce qu'on avait discuté au départ. Si les réservistes peuvent dresser des PV, être armés, là on n'est plus du tout d'accord. »

 

La dernière lecture du texte aura lieu mardi 8 février à l'Assemblée nationale. Le Parti socialiste envisage ensuite de saisir le Conseil constitutionnel pour l'ensemble de la Loppsi 2.

Photo : des policiers du commissariat de police du Xe arrondissement de Paris, le 6 février 2009 (Audrey Cerdan/Rue89).

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