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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 14:10
Sous l'étiquette Front de Gauche, l'ancien adjoint à l'urbanisme se présente aux Cantonales
Patrick Allemand sur Calais Centre

samedi 19.02.2011, 06:00

Patrick Allemand a présenté sa candidature en compagnie de Marcel Levaillant, Sylvain Jore et Monique Cailliez.Patrick Allemand a présenté sa candidature en compagnie de Marcel Levaillant, Sylvain Jore et Monique Cailliez.

 

 

 

 

 

 

 

Patrick Allemand peut créer la surprise à gauche. Avec la multiplication des candidatures socialisantes, l'ancien adjoint à l'Urbanisme pourrait sortir son épingle du jeu et se retrouver au second tour sous l'étiquette Front de Gauche «A L'âge de 55 ans et après trois mandats et demi au conseil municipal de Calais, j'estime atteindre une certaine maturité en politique.

» 
Patrick Allemand sera candidat sur le canton Calais Centre, pour le parti communiste et le Front de Gauche. Ce n'est pas son premier essai à ce type d'élection : «En 2004, je me suis présenté sur Calais Est, face à Serge Peron. J'ai augmenté le score du PC de 600 voix. Derrière Jacky Henin ce n'était pas mal. » Il sait que ce canton n'est pas franchement dessiné pour un communiste; mais il sait aussi qu'il n'y a jamais eu une aussi belle fenêtre de tir. Avec la présence de trois socialistes, actuels ou anciens, et d'un écologique, Patrick Allemand pourrait, sur son nom, s'extirper et prendre la deuxième place pour le second tour:«Je suis un homme de dossiers, d'expérience de gestion communale. Je connais les rouages administratifs des collectivités territoriales. » Durant sa campagne, il mettra en avant les actions qu'il a menées, les dossiers qu'il a portés, lorsqu'il était adjoint à l'Urbanisme, « et surtout ma façon de procéder et de fonctionner. Le collectif est un mot important pour moi.» Il pourra compter sur un groupe de personnes, «un premier cercle pourvoyeur d'éléments et chargé de vérifier si nous restons dans le cadre de la loi. » Et il aura aussi un comité de soutien, « présidé par Sylvain Jore. D'autres personnalités de tout bord ou non étiquetées viendront me soutenir. » La compétence du conseil général est constituée d'aides sociales à 60 % de son budget et d'éducation au travers des collèges : «  C'est pour ces raisons que je voudrais figurer dans cette assemblée : la proximité et être utile pour l'humain avant tout. » Il ne fera pas de promesses électorales qui ne rentrent pas dans les compétences du conseil général «comme peuvent le faire certains candidats... Le mandat de conseiller général doit s'exercer proche de la population, celle la plus touchée par la précarité. Cela passe par des permanences régulièrement tenues tant sur Calais, que Coulogne ou les Attaques. » Et Patrick Allemand en appelle aussi à la pluralité  : « Le Département est d'obédience socialiste. Notre présence peut apporter d'autres façons d'opérer dans les choix budgétaires et une majorité relative sera plus saine, en évitant l'oligarchie. Mais il n'est pas non plus opportun que ce canton repasse à droite. » 


Tour d'horizon du PCF
Patrick Allemand entre en campagne
mardi 19.10.2010, 06:00
Bertand Péricaud, Patrick Allemand, candidat aux cantonales, et Claude Vanzavelberg.Bertand Péricaud, Patrick Allemand, candidat aux cantonales, et Claude Vanzavelberg.

 

Bertrand Péricaud, premier secrétaire de la section calaisienne du PCF et Patrick Allemand, candidat au conseil général pour le canton de Calais centre, font le point sur l'actualité nationale et locale.


Avant tout, on évoque la réforme des retraites dont Bertand Péricaud se félicite qu'elle fasse descendre « de plus en plus de monde dans la rue », et que le mouvement incorpore désormais les jeunes. Selon lui : « Si la droite et le patronat voulaient faire croire qu'il est impossible de réformer les retraites et le régime par répartition, ils ne s'y prendraient pas autrement. C'est comme s'ils voulaient ouvrir la porte au système par capitalisation. » Le PCF préconise la retraite à taux plein à soixante ans, après trente-sept ans et demi de cotisation, et « qu'aucune pension ne soit inférieure au SMIC ». Le Parti a aussi son idée sur le financement : « Que l'État rembourse ses dettes à l'égard des caisses de retraite et abandonne les exonérations de charges qui n'ont eu aucun impact sur l'emploi. » Il encourage également à taxer les revenus financiers. 
Selon le secrétaire de la section calaisienne, « la puissance de la réaction populaire traduit aussi une forte préoccupation quant à l'avenir : le taux de chômage dans le Calaisis serait de 17 %, c'est le chiffre officiel, mais il est en réalité de 25 %. » À propos de SeaFrance, Bertrand Péricaud se demande si « la finalité de ces 700 licenciements n'est pas de rendre l'entreprise présentable pour le privé. » Quant à l'industrie, le PCF local déclare avoir trois priorités. Dans l'ordre : Calaire, où cinquante-et-un postes sont en voie de suppression ; Schaeffler, dont « il est impératif d'accompagner le déménagement, par exemple, sur la zone Marcel-Doret.
Pourquoi ne pas solliciter des fonds FEDER ? (soit une subvention européenne) » Enfin Tioxide, « dont le déversoir est chevauché par le projet Calais-Port 2015. Ce deversoir sera à déplacer. Qui va payer ? » Justement à propos de Calais-Port 2015 et du prochain appel d'offres relatif à sa concession, Bertrand Péricaud espère qu'elle reviendra à la future Chambre de commerce, en tout cas qu'elle ne tombera pas aux mains d'investisseurs privés étrangers.
Le candidat aux cantonales Patrick Allemand a, de son côté, la pression fiscale dans le collimateur, et s'étonne que les fonds de l'État « partent en priorité dans le forum Gambetta et le clocher de l'hôtel de ville. » Quant aux emplois attendus avec l'arrivée de Décathlon, KFC et But, Patrick Allemand n'y voit aucune raison de se réjouir « puisque ce seront des emplois précaires. » Il avance que les impôts locaux ont augmenté de 30 % en un an et que ce serait « cette pression fiscale qui fait fuir les classes moyennes de Calais, alors qu'on a tant dit que c'était à cause de notre politique urbaine. » Très prochainement se déroulera la conférence de section ou seront notamment intégrés les vingt nouveaux adhérents enregistrés depuis septembre. Elle précédera la conférence fédérale, toujours à Calais, qui sera rehaussée de la présence du successeur de Robert Hue, Pierre Laurent.
 

 
 
 
Alain Guérot est confronté à une succession très difficile...

Alain Guérot est confronté à une succession très difficile...

|  FOOTBALL |

Jeudi matin, l'association loi 1901 du CRUFC passera devant le tribunal de grande instance de Boulogne-sur-Mer pour obtenir l'aval judiciaire quant à son plan de sauvegarde. Un rendez-vous crucial pour son nouveau comité directeur qui espère ne pas subir les erreurs du passé. PAR YVES-MARIE CHOPART

calais@lavoixdunord.fr PHOTO JEAN-PIERRE BRUNET

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Alain Guérot, président de l'association loi 1901 du CRUFC, l'autre entité du club calaisien avec la société anonyme sportive professionnelle (SASP), a constaté depuis le 1er septembre, date de sa prise de fonction, que mener la destinée de ladite association n'était pas de tout repos.

Il a pu s'en apercevoir, une nouvelle fois, lundi à l'occasion d'une assemblée générale troublée en fin de séance par le commissaire aux comptes qui a émis des réserves quant au bilan financier de l'association pour ne pas avoir eu, en temps et en heure, les pièces comptables. Retard qui justifie selon le cabinet roubaisien Comexpert la délivrance, devant le tribunal de grande instance de Boulogne-sur-Mer, un rapport de carences. Ce qui, forcément, ne fait pas bon effet (voir notre précédente édition).

Pour autant, Alain Guérot reste confiant : « Nous avons eu en héritage, au 1er septembre, une mauvaise comptabilité.

Comptabilité dans laquelle de nombreuses pièces n'apparaissent pas. Depuis que nous l'avons en charge, la gestion est saine et l'exercice 2009-2010 fait apparaître un bénéfice de 22 000 E. Compte tenu de la politique de rigueur mise en place (baisse des primes de matches des joueurs, des indemnités des entraîneurs, réduction du temps de travail de la secrétaire...) nous prévoyons un actif de près de 110 000 E au terme de la saison 2010-2011. De ce fait, notre plan de redressement avalisé par Maître Labis, mandataire judiciaire, devrait être accepté par le TGI (plan fixé sur huit ans pour rembourser une dette de 793 266 E). » Un prévisionnel optimiste qui, toutefois, n'a nullement été confirmé par une situation comptable... Ce qui, c'est une évidence, ne fait pas bon effet aussi.

Validation à l'aveuglette

Pour autant, Jean-Marc Leroy, adjoint aux sports de la Ville et qui siège au sein du comité directeur de l'association, justifie la validation à l'aveuglette des comptes, lundi soir, par les licenciés du CRUFC : « Il n'y a rien de catastrophique quant à la réserve émise par le commissariat aux comptes. On sait qu'Alain Guérot et son équipe ont récupéré une comptabilité désastreuse avec des factures que l'on ne retrouvera pas et qu'ils ont, de ce fait, une succession difficile à gérer. S'il reste des zones d'ombre, elles ne sont donc pas dues au nouveau comité qui travaille avec le plus grand sérieux et en étroite collaboration avec Maître Labis pour que le plan de sauvegarde soit accepté. À partir de là, j'estime qu'il était normal de valider les comptes présentés pour marquer notre confiance à Alain Guérot et son comité. » Un soutien municipal confirmé par Natacha Bouchart : « Le commissaire aux comptes a fait son travail et c'est normal. Maintenant, le nouveau comité directeur a besoin de temps pour reconstruire une comptabilité d'où le retard de l'AG. Un comité qui, soit dit au passage, semble tenir la route avec des membres au discours lisible. Lors du prochain conseil municipal (ce soir), nous allons voter une subvention de 250 000 E . Subvention qui sera versée sur présentation des comptes de l'association et j'ai confiance dans la nouvelle gestion du club calaisien. »

Demande de renvoi

Patrick Allemand, titulaire d'une licence de dirigeant au CRUFC, reste beaucoup plus mesuré : « Les statuts et nouveaux règlements adoptés lundi soir répondent à nos attentes et semblent indiquer que l'association va dans le bon sens. Toutefois, des zones d'ombre persistent sur les comptes comme l'a déclaré le commissaire aux comptes et il est logique que ce dernier ne puisse certifier la comptabilité présentée. Maintenant, il est trop facile de se retrancher de façon aussi simpliste derrière le passé alors que l'avenir du CRUFC se joue, jeudi, sur le plan juridique. J'ose espérer que le nouveau comité directeur de l'association a mis à profit le délai qui lui a été imparti pour dresser un plan de redressement sérieux. Si je n'avais pas été absent lors de la validation des comptes, je me serais abstenu. Je n'aurai voté, en effet, qu'au regard de documents certifiés. Le comité d'Alain Guérot doit monter en professionnalisme pour se voir accorder une pleine confiance. Pour l'heure, seule la SASP, bien gérée par son président Melliet, et l'équipe de Djezon Boutoille sont en mesure d'assurer l'avenir. » Maître Antoine Deguînes, qui défendra les intérêts du CRUFC jeudi devant le TGI, demandera un renvoi : « Afin que le commissaire aux comptes soit en mesure d'étudier sérieusement la comptabilité de l'association. » Avec quel résultat ? •

02.02.2011
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
Alain Guérot se dit étonné de l'acharnement qu'il subit de la part de Patrick Allemand.

Alain Guérot se dit étonné de l'acharnement qu'il subit de la part de Patrick Allemand.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le 30 novembre, Patrick Allemand, èlu d'opposition à la ville de Calais, adressait une lettre ouverte à Alain Guérot, président de l'association loi 1901 du CRUFC, afin de lui demander des comptes (notre édition du 3 décembre). Entre autres, le conseiller municipal avait écrit : « Vous avez pris l'engagement d'agir en toute transparence et à ce jour aucune nouvelle information n'a été donnée aux licenciés, depuis votre prise de pouvoir. Seul, le comité directeur semble être informé. Hors, la procédure de sauvegarde, prononcée par le tribunal de grande instance de Boulogne, n'exclut pas d'agir et de respecter les statuts en vigueurs, nouveaux statuts dont nous n'avons jamais eu communication. Aucune assemblée générale pour la validation des comptes annuels et prévisionnels n'a été convoquée depuis l'assemblée élective. L'affectation des subventions municipales n'est pas lisible, et au regard de la gestion de l'administrateur judiciaire, aucune communication des comptes n'a été faite aux licenciés en assemblée générale. Doit-on en être réellement occulté, quand on parle de transparence, il en est de même pour le plan de sauvegarde, non validé par l'AG, quel quitus peut-on donner à cette comptabilité occulte qui crée la suspicion faute de communication ? » Ainsi, Patrick Allemand, conformément aux statuts du club, invitait Alain Guérot à lui fournir plusieurs pièces pour être en mesure d'être éclairé sur la politique à venir de l'association. N'ayant à ce jour toujours pas reçu les éléments demandés, l'élu menace, aujourd'hui, le successeur de Christophe Pollet dans une seconde lettre ouverte : « Je m'étonne de votre mutisme en vous rappelant les termes de ma correspondance du 30 novembre, restés sans réponse. Je me demande si j'ai à faire à un président virtuel ou si l'on ne va pas retomber dans les travers du passé, faute de transparence et de communication avec vos adhérents. Je vous demande donc expressément d'agir en conséquence. Faute de réponse dans les huit jours, vous m'obligeriez à adresser la copie des correspondances au président du TGI et de la cour d'appel, voire de vous assigner pour faire respecter les statuts en vigueur et surtout les engagements que vous aviez pris solennellement devant notre conseil municipal... » Alain Guérot, ainsi interpellé avec force, s'étonne de l'attitude de l'élu d'opposition : « Pourquoi cet acharnement sur ma personne alors que je ne suis en fonction que depuis quatre mois. Je ne suis d'ailleurs pas seul aux commandes de l'association puisqu'il y a également un comité directeur sans oublier qu'il y a un mandataire judiciaire, Maître Labis, auprès duquel Patrick Allemand peut se rapprocher. » « Je suis surpris sur deux plans. Premièrement que le conseiller municipal ne se soit pas manifesté lors du conseil municipal de la mi-octobre alors que nous avions été convoqués pour répondre aux questions. Deuxièmement, c'était il y a un an, alors qu'il n'y avait pas de comptable et une grande opacité sur les comptes de l'association calaisienne, qu'il aurait dû s'inquiéter auprès du précédent comité directeur. Que Patrick Allemand se rassure, nous sommes en train de mettre en place en bonne gestion, après avoir eu nous-mêmes des difficultés à réunir certaines pièces, et les salaires sont désormais payés. Par voie de presse, j'ai signalé qu'il y aura une assemblée générale fin janvier et à ce moment-là, le conseiller municipal pourra avoir toutes les données sur notre gestion et réponses aux questions qu'il se pose. AG que nous n'avons pu convoquer plus tôt en raison de la difficulté à réunir les pièces. Je précise, enfin, que l'association désormais, en plus d'un mandataire judiciaire, bénéficie des services d'un expert-comptable et d'un commissaire aux comptes, autant de personnes que Patrick Allemand est en droit de solliciter. Quant aux nouveaux statuts de l'association, il peut les consulter à la sous-préfecture ou à la mairie. Pourquoi veut-il me faire porter les erreurs du passé... » A suivre ?

Les présidents du CRUFC entendus par le conseil municipal : Gilles Cocquempot et Patrick Allemand refusent le débat

mercredi 20.10.2010, 05:05  - La Voix du Nord

MM. Manier, expert-comptable, Guérot et Melliet reçus cinq sur cinq par Natacha Bouchart.MM. Manier, expert-comptable, Guérot et Melliet reçus cinq sur cinq par Natacha Bouchart.
|  ON EN PARLE |

Comme coup d'envoi du conseil municipal, Natacha Bouchart avait décidé de convier les deux hommes forts du CRUFC, ...

 

à savoir Alain Guérot, président de l'association loi 1901, et Jean-Luc Melliet, président de la société anonyme et sportive professionnelle (SASP), afin que ces derniers présentent, au cours d'une suspension d'audience, les comptes du CRUFC. Démarche motivée par la maire afin « d'apporter un éclairage à la Ville de Calais, principal soutien financier du CRUFC et donc aux contribuables. » Natacha Bouchard, en préambule, de rappeler que cette initiative n'avait nullement vocation pour le conseil municipal de se poser en tribunal populaire mais, au contraire, d'apporter de la sérénité à un club soumis aux turbulences depuis trop longtemps : « La Ville fait confiance aux deux entités du CRUFC pour que ces dernières travaillent avec un maximum de sérénité. Ville qui a tout mis en oeuvre pour que le club calaisien passe avec succès son examen devant la cour d'appel de Douai (voir ci-dessous) avec de nouveaux dirigeants qui ne doivent en aucun cas supporter les erreurs du passé. » Placé ainsi dans de bonnes dispositions par la maire, Alain Guérot a dressé les grandes lignes de la nouvelle politique du CRUFC : « Déjà nous nous sommes efforcés de restructurer notre club afin de réduire un maximum de dépenses. Nous escomptons d'ailleurs tirer un bénéfice de 100 000 E sur la saison 2010/2011. Avec le soutien des élus calaisiens, l'aval du mandataire judiciaire et celui du liquidateur judiciaire, nous avons bon espoir de convaincre la cour douaisienne et, ainsi, avec notre plan de redressement prévu sur 8 ans, revenir à une procédure de sauvegarde. Au niveau sportif, nous souhaitons que la formation des jeunes devienne une priorité dans notre club. Dans cette optique nous souhaitons fédérer nos clubs voisins pour que la relève du Calaisis ne se disperse pas aux quatre vents. » L'opposition a été invitée à se mêler au débat en posant trois questions. Natacha Bouchart s'est vu opposer un refus. Gilles Cocquempot, député socialiste, a estimé que l'initiative du maire relevait de « l'amateurisme alors même qu'une procédure, impartiale celle-là, est en cours. » De son côté Patrick Allemand s'est étonné, entre autres : « de la présence, aux côtés de MM. Guérot et Melliet, d'un expert comptable mis en cause dans le jugement de l'expert judiciaire sur la certification des comptes précédents que les comptes ne soient pas présentés par le mandataire judiciaire, seule personne habilitée pour certifier une comptabilité sous procédure de sauvegarde que les élus municipaux siégeant au comité directeur du CRUFC depuis deux ans n'aient jamais été informés des dérives financières à hauteur de 850 000 E. » À partir de là, l'élu communiste a estimé que l'opposition n'avait pas à interférer dans le débat.

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Seul le socialiste Charles François s'est félicité de la transparence des comptes donnés par le CRUFC « Une première ! ». Il a accordé, dès lors, son soutien au club calaisien. Un tacle pour ses partenaires de l'opposition ?

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