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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 13:54
Hervé Poher, président de la communauté de communes des Trois Pays
« On a pris des habitudes de vieux garçons »
jeudi 17.02.2011, 06:00
Hervé Poher.Hervé Poher.

 

Pour Hervé Poher, le président de la communauté de communes des Trois Pays, c'est presque un retour vers le futur : « En 1996, j'ai fait la même proposition d'une grande intercommunalité.


Et je me suis pris une claque ! le préfet de l'époque et les élus m'ont dit que c'était irréalisable 
... » Hervé Poher a digéré la leçon : « Depuis, le temps a passé et on a appris à travailler à notre échelle. Chaque intercommunalité a trouvé son propre équilibre. On a pris des compétences particulières. Par exemple, dans les Trois Pays, nous avons pris beaucoup d'avance dans le domaine de la petite enfance ». Ces différences de compétences sont d'ailleurs pour l'élu un obstacle dans le rapprochement entre Cap Calais et les intercommunalités rurales qui l'entourent : « Il y a un vrai fossé dans ce domaine. A Cap Calaisis, il y a le Sevadec pour le traitement des déchets mais le ramassage reste de la compétence de Calais. » Se pose aussi pour lui une question de taille : « Je pense qu'on ne peut pas bien travailler avec des usines à gaz. Si on créait une entité trop grande, on ne ferait plus d'aménagement mais de la politique. On passerait le temps à se bouffer le nez. On se doit d'abord à la population, autant bâtir une structure qui marche. Le seul endroit où on peut discuter, c'est le Sympac ».


Pas question pour autant d'imaginer un rapprochement entre communautés de communes, même si c'est le voeu du préfet : « On a des habitudes de vieux garçons. Depuis 1996, je suis un amoureux éconduit. Il n'est pas question, pour nous, d'imaginer un Pacs. »
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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 13:43
Candidat aux cantonales sous l'étiquette Gauche démocratique
Charles François sur Calais Centre
jeudi 17.02.2011, 06:00
Charles François et Danielle Debaerdemacker.Charles François et Danielle Debaerdemacker.

 

Ancien premier adjoint, ancien secrétaire de la section socialiste de Calais, on s'attendait à une candidature de Charles François aux cantonales, histoire de marquer le terrain jusqu'aux municipales, de montrer que la vie locale l'intéresse.




« J'ai porté ma déclaration de candidature ce matin. Je me suis engagé sur le canton Calais Centre sous l'étiquette Gauche démocratique. » Charles François a rencontré la presse mardi soir. Il n'a pas l'intention d'abandonner la politique : « Je me suis toujours intéressé à la vie locale et le conseiller général est un élu de proximité. Il doit suivre les dossiers des maires, la vie des collèges et bien d'autres choses qui touchent à la vie de tous les jours. » Il tient à l'adjectif "démocratique" derrière Gauche : «  Je pourrais aussi rajouter "ouverte" et "non partisane". » Des mots bien choisis qui prouvent que les plaies sont encore ouvertes. Il n'a pas digéré son élimination de la liste socialiste lors des Régionales 2010. Les militants du Calaisis l'avaient choisi, le fédéral et Daniel Percheron ont préféré le souffle nouveau de Yann Capet. Une décision qui l'a poussé à démissionner du parti socialiste : «  Je suis un homme libre, sans parti, mais tous les Calaisiens savent que je suis de gauche... » Malgré ses bonnes relations avec Alain Mascret, il n'a pas voulu rejoindre le PRG. Pas encore : « Je n'ai pas le soutien d'un parti, mais j'ai beaucoup de gens qui me soutiennent, dont un noyau dur d'une trentaine de membres. » Il affirme n'avoir aucun souci pour l'organisation de sa campagne : « Nous ferons dans le simple, le strict minimum. Une profession de foi, un tract, une affiche, les bulletins de vote... Et puis la campagne va être courte. » Sa candidature pourrait mettre un peu plus en difficulté la position de Philippe Vasseur, le conseiller général socialiste sortant. Voire tout le PS. Toutes ces dissidences socialistes pourraient avantager le PC et le renforcer pour les prochaines échéances : « Je ne sais pas... Ce n'est pas ma préoccupation. Chaque citoyen a le droit de se présenter. Et on essaiera de gagner. Mais j'espère avant tout que les concitoyens seront nombreux à aller voter. Mais je crains le pire, les médias nationaux ne parlent que de la présidentielle. Et puis c'est vrai que c'est un scrutin bizarre.

Les conseillers généraux élus le 27 mars ne le seront que pour trois ans... Et puis tout le monde ne vote pas. » 
Dans le Pays de Calais, les cantons de Guînes et de Marquise ne sont pas renouvelables.


« Il faudra être dans les deux premiers. Avec un minimum de 12,5 % des inscrits, il serait étonnant que l'on se retrouve avec des triangulaires au second tour. » Si Charles François ne franchit pas le cap du premier tour, il n'appellera pas à voter pour un autre candidat, quel qu'il soit : « Tout le monde sait que je suis de gauche, ils feront leur choix. » Philippe HENON
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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 13:41
Natacha Bouchart, maire de Calais, vice-présidente de Cap Calaisis
« Chacun doit ouvrir un petit peu son esprit »
jeudi 17.02.2011, 06:00
Natacha Bouchart.Natacha Bouchart.

 

Sur le fond, Natacha Bouchart estime que la réforme en cours ne peut que simplifier les rapports entre les élus et les structures qui peuvent les épauler dans le montage ou le financement de projets : « Ça va permettre de mieux identifier les responsabilités et de faire des économies, même si ça amène aussi la suppression de postes d'élus ».




Plus prosaïquement, le maire de Calais et vice-présidente de l'agglo s'attend à mariage inévitable entre Cap Calaisis et la CCSOC, un mariage profitable aux deux structures : « C'est vrai que Calais est la ville-centre, on n'y peut rien. C'est la locomotive qui tire tout le dispositif mais ce dynamisme doit profiter à tout le monde. Il ne peut pas y avoir de locomotive sans wagons. Calais fait vivre en grande partie ses environs. On peut faire partager à un tarif unique nos équipements, nos services à toute cette population ».

« Il faut que chacun ouvre un petit peu son esprit, souhaite-t-elle. La nouvelle équipe en place à Cap Calais a montré qu'elle savait partager les responsabilités entre les différents maires de ses communes membres. Les élus du Sud Ouest du Calaisis n'ont pas de craintes à avoir, même s'ils ne représentent que 7 700 habitants. Il faut poser les projets communs tranquillement, discuter des compétences des uns et des autres, étudier les questions de fiscalité mais l'intérêt de tout le monde est de se mettre autour d'une même table plutôt que d'attendre qu'on nous impose une fusion ».



 

Nord Littoral
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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 13:37
Philippe Blet, président de Cap Calaisis Terre d'Opale
« Il faut raisonner en termes de bassin de vie »
jeudi 17.02.2011, 06:00
Philippe Blet.Philippe Blet.

 

« Il faut être capable de trouver du positif dans quelque chose qui apparaît d'abord négatif, il faut en faire quelque chose de dynamique », insiste Philippe Blet pour qui cette réforme doit permettre de se pencher sérieusement sur la question des compétences et de la mutualisation.




Il est aussi question de redécoupage géographique. La logique défendue par le président de Cap Calaisis passe par un rapprochement avec les communes de la CCSOC : « Je comprends la réticence de certains élus mais on doit d'abord penser aux habitants. Nous devons raisonner en terme de bassin de vie. Ça semble logique que les communes de la CCSOC nous rejoignent. On reviendrait au SIPAC de 1993. » Pour le président de Cap Calaisis, cette union est indispensable : « Il faut que Calais soit la locomotive mais nous avons besoin aussi des communes environnantes. C'est une ineptie de penser qu'on est en opposition, il faut un équilibre. Dans la CCSOC, on trouve des villes de taille modeste mais on doit respecter au mieux ce qu'elles attendent, on peut imaginer un mode de fonctionnement particulier et leur laisser certaines compétences.

 » Pour autant, Philippe Blet reconnaît un manque de visibilité sur le volet financier : « On ne sait pas où on va, ça bouge tout le temps.

Au départ, les intercommunalités devaient être les grandes gagnantes de cette réforme. Ça n'est plus vrai maintenant. Dans cette réforme, on a mis la charrue avant les 
boeufs »

 

Nord Littoral
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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 19:27
Immigration: l'Assemblée rétablit, en commission, les mesures-phare du projet
L'Assemblée nationale a rétabli mercredi, en commission, plusieurs mesures-phare du projet de loi sur l'immigration supprimées par le Sénat, notamment l'extension de la déchéance de nationalité et la réforme du contentieux de l'éloignement des sans-papiers.

AFP - L'Assemblée nationale a rétabli mercredi, en commission, plusieurs mesures-phare du projet de loi sur l'immigration supprimées par le Sénat, notamment l'extension de la déchéance de nationalité et la réforme du contentieux de l'éloignement des sans-papiers.

En adoptant un amendement défendu par Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur et de l'Immigration, la majorité UMP a rétabli, en commission des Lois, l'extension controversée de la déchéance de nationalité aux personnes devenues françaises depuis moins de 10 ans et qui se sont rendues coupables de crime à l'encontre de personnes dépositaires de l'autorité de l'Etat.

Cette mesure, qui répondait au voeu exprimé par le président Nicolas Sarkozy lors de son discours de Grenoble cet été, avait été incluse, à l'automne, dans le projet de loi.

Si l'Assemblée nationale l'avait approuvée en première lecture en octobre, le Sénat l'avait rejetée la semaine dernière, les centristes faisant bloc avec la gauche.

L'exécutif semblait mardi d'accord pour en rester à la version du Palais du Luxembourg, dans un geste en direction des sénateurs centristes.

Le Premier ministre François Fillon avait ainsi déclaré mardi, devant les députés UMP, que le gouvernement y était prêt, en accord avec le chef de l'Etat, à condition de ne pas modifier l'architecture générale du texte.

Recevant les députés UMP à l'Elysée mercredi, Nicolas Sarkozy a rappelé qu'il était favorable à cette mesure symbolique mais que si cela créait des désaccords au sein de la majorité, il n'en ferait pas un point de fixation, selon des sources parlementaires.

Pour autant, a-t-il dit en substance, on ne peut pas accepter toutes les modifications du Sénat. Il a prévenu ainsi que si des désaccords subsistaient sur l'ensemble du texte entre les deux chambres, il souhaitait que l'Assemblée ait le dernier mot.

En commission, les députés ont donc rétabli la réforme sur le contentieux de l'éloignement qui prévoit de retarder l'intervention, en rétention, du juge des libertés et de la détention (JLD) à cinq jours (deux, actuellement).

Ce dispositif, très contesté par plusieurs associations, avait été approuvé en première lecture par les députés, avant d'être rejeté au Sénat par une majorité gauche-centre.

La réforme prévue par le gouvernement vise à une meilleure efficacité des procédures d'éloignement, puisqu'actuellement, moins de 30% des sans-papiers placés en rétention sont finalement reconduits aux frontières.

Selon le dispositif envisagé par le gouvernement, il appartiendra d'abord au juge administratif de se prononcer sur la légalité d'une mesure d'éloignement. Il reviendra ensuite au JLD d'autoriser ou non, dans un délai de cinq jours, la prolongation de la mesure de rétention.

Les députés ont aussi rétabli les dispositions restreignant la possibilité de droit au séjour pour les personnes sans papiers lorsqu'elles sont atteintes de pathologies graves. Il s'agit pour le gouvernement, qui a présenté des amendements en ce sens, de contrecarrer la jurisprudence d'un avis du Conseil d'Etat jugée "trop généreuse". L'association Aides a immédiatement condamné ce vote.

La commission des Lois a également rétabli la pénalisation des mariages "gris", définis comme "fondés sur une tromperie volontaire". Ceux-ci, si la mesure est finalement adoptée, seront passibles de 7 ans de prison et 30.000 euros d'amende.

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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 18:07

 

 

 

 

 

 


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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 17:41
Bernard Madoff en mars 2009 à la sortie de la Cour fédérale américaine.

Bernard Madoff en mars 2009 à la sortie de la Cour fédérale américaine. HRC/WENN.COM/SIPA

ÉTATS-UNIS - Cela les rend «complices» de la gigantesque fraude qu'il avait montée, a-t-il dit au «New York Times»...

«Ils ne pouvaient pas ne pas savoir». C'est ce que l'escroc américain Bernard Madoff, qui purge une peine de 150 ans de prison, a déclaré dans un entretien publié mardi par le New York Times. Selon lui, n certain nombre de banques et de fonds d'investissements étaient nécessairement au courant de sa fraude. Il affirme ainsi que cela rendait ces établissements non identifiés d'une certaine manière «complices» de la gigantesque fraude qu'il avait montée.

«Mais leur attitude était en quelque sorte de dire: "si vous faites quelque chose de mal, nous ne voulons pas le savoir"», a ajouté celui que l'on surnomme l'escroc du siècle, dans cet entretien publié sur le site internet du journal. Arrêté fin 2008,Bernard Madoff a été reconnu coupable en juin 2009 d'avoir organisé une gigantesque fraude pyramidale dans laquelle ses quelques 16.000 victimes ont perdu au total plusieurs dizaines de milliards de dollars qu'elles lui avaient confiées.

Irving Picard, le mandataire désigné pour représenter les victimes de Bernard Madoff, a déposé plainte le 2 décembre contre la banque américaine JPMorgan, l'accusant d'avoir été «entièrement complice» de la fraude montée par l'ancienne étoile de Wall Street en ayant choisi «sciemment», comme d'autres établissements financiers, «de détourner les yeux».

 © 2011 AFP
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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 17:37
Un état de déclin?

 

A person dressed as the Statue of Liberty

Par Justin Webb 
L'émission d'aujourd'hui
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Une série de casse-tête balaie les États en général confiance en soi-Unis, que les commentateurs politiques mettent en garde contre le déclin de la grande nation.

Ces soi-disant «déclinologues» ne sont pas nouvelles - elles ont été d'émettre leurs sombres prédictions, puisque la Russie a battu les États-Unis dans l'espace - mais avec la flambée de la dette et hargneux batailles politiques, leur argument a plus de poids que jamais.

 

Mount Rushmore
Y at-il peur dans les yeux des présidents Mont Rushmore?

Quand je vivais à Washington DC comme la BBC en Amérique du Nord éditeur, nous avons utilisé pour conduire les enfants deux heures au nord de Hershey's Chocolate World.

Au milieu de l'odeur chocolaté glorieuse, vous êtes accueillis par un film qui résume l'optimisme des États-Unis.

«Milton Hershey S, père de l'industrie du chocolat américain, a commencé par un échec et s'est terminée dans le succès, parce qu'il était honnête, intelligent et a estimé que le produit de bon goût a été plus importante que toute autre chose," booms la voix tous les Américains.

Il reflète parfaitement l'attitude d'esprit qui a construit les Etats-Unis - naïf à bien des égards, détaché du monde dans son attitude inconditionnelle à une entreprise commerciale, mais sain, robuste et, pour reprendre l'expression favorite de Donald Rumsfeld, penché en avant.

 

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Des interviews en profondeur
Richard Haas, Anne Marie Slaughter, Francis Fukuyama and Richard Haas
Écoutez des entrevues complètes Justin Webb avec des penseurs de premier plan des États-Unis.
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Oh man, la vie était simple en ces jours. Il a été 1886 et les États-Unis a été d'atteindre la fin d'un siècle, elle a commencé avec son statut et l'avenir beaucoup en question et s'est terminé le cours pour devenir le plus riche, la nation la plus puissante sur la terre.

Comme le musée du chocolat fait clair, Milton Hershey S a été l'un des nombreux honnêtes, des gens intelligents et dévoués qui fait de l'Amérique grands.

Fait intéressant, la nation bâtie une grande partie de cette grandeur sur une fondation de la dette. Mais les Américains ont convaincu le monde, au cours du 19e siècle, qu'ils seraient toujours en mesure de le rembourser.

Ils ont prospéré, remboursé les prêts et ont emprunté plus. Ils ont inventé la dette de consommation de masse trop - et il sert à alimenter une économie qui allait changer l'histoire.

la dette nationale

Les États-Unis de la dette à nouveau à hauteur de milliards de dollars, une plus grande proportion de sa richesse nationale qu'à aucun autre moment depuis la Seconde Guerre mondiale.

 

Senate Budget Committee member Jeff Sessions gives his analysis of the Obama budget
Les politiciens américains mettent en garde contre un "raz de marée de la dette" déferle sur le pays

Mais cette dette, disent certains, n'est pas la force bénigne que les dettes antérieures ont été. Cette dette est la cause potentielle du déclin des Etats-Unis, qui commence par l'économie, mais englobe tout ce que rapidement, en prenant toute une culture vers le bas.

Ancien responsable du département d'Etat Richard Haass, président du Council on Foreign Relations, dit cette seule question a le pouvoir de sérieusement endommager les États-Unis à la maison et à l'étranger.

Si les politiciens américains ne traitent pas de la dette du pays, et de trouver une trajectoire plus durable, dit-il, les Américains seront un jour suite à trouver du monde a fait le travail pour eux.

"Le marché obligataire sera essentiellement perdre confiance dans la capacité des États-Unis à rembourser ses dettes et il va nous obliger à augmenter les taux d'intérêt de façon spectaculaire», dit-il.

"Cela aurait évidemment des conséquences considérables pour la croissance économique."

Ce serait grave en soi. Mais c'est l'effet sur la puissance américaine et donc sur nous tous que Richard Haas veut porter à notre attention.

 

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QU'EST-CE QUE déclinisme?
Les commentateurs aux Etats-Unis ont souvent peur que la position du pays en tant que nation la plus puissante et riche de la planète est menacée.

 

Chaque génération a son propre peur. Dans les années 1960, la suite des succès soviétiques dans l'espace, beaucoup aux Etats-Unis a estimé qu'il était en retard technologiquement.

 

Dans les années 1970, que le Japon a connu un boom économique, a averti que déclinologues place des Etats-Unis comme le favori économique a été en danger.

"Il sera beaucoup contribuer à un affaiblissement des États-Unis, cela pourrait diminuer notre capacité à agir dans le monde et de diriger. Et je ne vois personne d'autre le renforcement de prendre notre place de façon responsable.

"Donc, au 21e siècle se révélera être un siècle de troubles beaucoup plus grande, de la faiblesse de l'US."

Ce qui est intéressant sur le cas de l'déclinistes », c'est qu'il n'a rien à voir avec les menaces évidentes étrangers à la puissance des États-Unis.

Le vrai problème est l'incapacité à obtenir de la nation, comme ils le voient, se réveiller à la catastrophe imminente et s'amender.

Il est intéressant d'un ton moral de leur argumentation. Le fait est que la dette des États-Unis - son déficits accumulés - ne peuvent pas facilement être résolus sans changement grave et douloureux pour la société, y compris probablement hausses d'impôts et la fin de certains droits.

budget de Barack Obama a fait allusion à ce qui doit être fait, mais en vérité, ne contribuerait guère à résoudre les problèmes fondamentaux qui causent les États-Unis de fonctionner, ou ne fonctionne pas, comme il le fait.

Old fashioned

L'une des questions les déclinologues point est le fait étrange que le système politique américain est tellement ancrée dans une constitution signé au 18ème siècle.

 

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start_quote_rb.gif Il ya un niveau de méfiance politique dans le pays de manière générale que fait une sorte de formation raisonnable de consensus politique extrêmement difficile end_quote_rb.gif
Francis Fukuyama

Francis Fukuyama, un des grands penseurs des Etats-Unis, signale que l'amour de la nation des armes à feu n'est pas seulement sur la protection des personnels.

"Les Américains aiment les armes, non pas parce qu'ils aiment à chasser, mais parce qu'ils se sentent, s'ils sont confrontés à l'autorité tyrannique, s'ils sont armés, ils ont un moyen de résister, dit-il.

"Il ya un niveau de méfiance politique dans le pays de manière générale que fait une sorte de formation raisonnable de consensus politique extrêmement difficile."

Fukuyama affirme que le système politique a besoin de fixation et de nombreuses aux Etats-Unis serait d'accord.

Mais alors que la plupart dirais que la réponse est un mouvement au sol du centre et d'un accord par tous sur ce qui doit être fait, il ya ceux qui soutiennent la thèse inverse.

D'une part, thé militants du Parti sont malades du consensus de Washington chaleureux qu'ils disent est corrompu et coûteux.

D'autres sont des gens comme l'économiste de Harvard Jeffrey Sachs, qui estime que le problème est en réalité trop accord beaucoup - un système qui, dit-il s'appuie aussi fortement sur le financement des entreprises que les intérêts des riches sont toujours super-protégées.

"Les deux parties ont adopté un faible taux d'imposition, favoriser les riches, ne stratégie de réforme très peu, dit-il.

"La réalité, c'est notre politique est guidée par l'argent au sommet dans un âge qui dépasse l'âge d'or."

Un grand espoir

Est-il un espoir pour les États-Unis? Eh bien oui, pour deux raisons.

 

US flag at a political rally
Est-ce que le drapeau des États-Unis continuent de faire trembler le monde entier?

Premièrement, les déclinologues ont été autour de sous différentes formes avant et ils ont toujours eu tort. Les États-Unis a une capacité de faire face à ses problèmes qu'aucun autre pays n'a jamais appariés.

Deuxièmement, les États-Unis a quelques avantages clés dans un monde de connaissances et des technologies numériques.

Pratiquement toutes les grandes universités du monde sont là et, comme Anne-Marie Slaughter de Princeton dit, l'une des premières choses qu'ils enseignent est à la question de l'enseignant.

Ceci, dit-elle, est un avantage décisif des Etats-Unis.

"Je ne pense pas que nous sommes la seule nation qui peut inventer des technologies grand, je ne pense pas que nous avons un verrou sur l'intelligence ou l'éducation, dit-elle.

"Mais cette caractéristique culturelle de l'accueil, voire impose, la contestation de l'autorité - dans un monde où les connaissances, idées, l'innovation est la monnaie - nous sommes très bien placés.

«Nous avons besoin de renouveler notre contrat social, notre infrastructure, notre infrastructure physique, nos infrastructures d'éducation, notre infrastructure de santé.

«Il ya beaucoup de travail à faire, mais nous ne perdons pas la capacité de le faire."

Tiens, déclinologues! Les plus beaux jours des États-Unis sont en avance ... peut-être.


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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 16:49

 

La hausse des prix alimentaires a fait tomber entre juin et décembre 44 millions de personnes dans

WASHINGTON (AFP) - La hausse des prix alimentaires a fait tomber entre juin et décembre 44 millions de personnes dans le monde sous le seuil de l'extrême pauvreté, a affirmé mardi la Banque mondiale.

L'institution a réalisé cette estimation grâce à des statistiques sur les revenus et dépenses des ménages réalisées dans les pays à revenus bas à moyens.

Le seuil de l'extrême pauvreté est défini par des dépenses de 1,25 dollar par jour et par personne. D'après les dernières estimations en date de la Banque mondiale, 1,2 milliard de personnes dans le monde sont sous ce seuil.

"Les prix de l'alimentation continuent à augmenter dans le monde. L'indice des prix alimentaires de la Banque mondiale a augmenté de 15% entre octobre 2010 et janvier 2011, et n'est que 3% en dessous de son pic de 2008", a indiqué l'institution dans un communiqué.

"Les six derniers mois ont vu des hausses marquées des cours mondiaux du blé, du maïs, du sucre et des huiles alimentaires, et une hausse relativement moins forte de ceux du riz", a-t-elle détaillé.

Ces hausses enrichissent des agriculteurs et certains pays exportateurs. Mais pour la Banque mondiale, leur effet sur l'ensemble de la population de la planète est un appauvrissement: elles n'ont sorti que 24 millions de personnes de l'extrême pauvreté, tandis qu'elles y plongeaient 68 millions d'autres.

Le président de la Banque mondiale Robert Zoellick a affirmé, à trois jours d'une réunion des ministres des Finances du G20 à Paris, que ces chiffres soulignaient "la nécessité pour le G20 de faire passer la question de l'alimentation avant tout".

"Cette année s'annonce très dure pour ceux qui souffrent de malnutrition chronique", et "même si elle n'est pas la première cause de l'instabilité politique que l'on voit aujourd'hui en Afrique du Nord, au Proche et au Moyen-Orient, l'augmentation des prix a néanmoins été un facteur aggravant qui pourrait devenir encore plus préocuppant", a-t-il souligné.

"C'est un vaste problème et il va nécessiter un ensemble très large de solutions. Certaines vont devoir s'attaquer à la question de la sécurité alimentaire et de la production" agricole d'une part, et la communauté internationale d'autre part "doit aider les plus vulnérables en particulier face à la volatilité des prix", a ajouté M. Zoellick.

Les prix de l'alimentation s'étaient déjà emballés au premier semestre 2008. D'après la Banque mondiale, ils ne sont aujourd'hui plus qu'à 3% du pic observé à l'été 2008.

Dans un article publié en décembre 2008, les économistes de l'institution estimaient alors que 105 millions de personnes avaient alors été poussées sous le seuil d'extrême pauvreté, fixé à l'époque à un dollar par jour et par personne.

La hausse des prix alimentaires a fait tomber entre juin et décembre 44 millions de personnes dans le monde sous le seuil de l'extrême pauvreté, a affirmé mardi la Banque mondiale. (© AFP Issouf Sanogo)

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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 14:48
Des manifestants opposés à Kadhafi dispersés par la police

Trente-huit personnes ont été blessées dans la nuit de mardi à mercredi dans des affrontements à Benghazi, ville côtière de l'Est libyen, entre des manifestants et les forces de l'ordre, a indiqué le directeur de l'hôpital Al-Jala de Benghazi. Un précédent bilan faisait état d'au moins quatorze blessés.



L'Union européenne a appelé mercredi la Libye à autoriser "l'expression libre" et à éviter "toute violence". "Nous appelons les autorités à écouter tous les gens qui participent aux protestations et ce que la société civile dit, et à permettre l'expression libre", a souligné la porte-parole de la Haute représentante de l'Union européenne aux affaires étrangères Catherine Ashton.

"BENGHAZI RÉVEILLE-TOI"

 

Les forces de l'ordre étaient intervenues, selon le journal libyen Quryna, pour mettre fin à des affrontements entre des partisans de Mouammar Kadhafi et des"saboteurs" parmi des manifestants qui s'étaient rassemblés pour réclamer la libération d'un avocat, Fethi Tarbel, représentant des familles de prisonniers tués en 1996 dans une fusillade dans la prison d'Abou Salim à Tripoli.

Selon Human Rights Watch, au moins mille deux cents prisonniers ont été tués par les forces de l'ordre lors d'une fusillade à la prison d'Abou Salim en 1996, dans des circonstances qui restent confuses. Depuis quelques années, leurs familles, dont une grande partie est originaire de Benghazi, ne cessent de réclamer que lumière et justice soient faites sur ce massacre. Nombre des opposants à Kadhafi en sont originaires, et la ville a été écartée des principaux projets de développement économique, renforçant son particularisme.

Me Tarbel, dont les raisons de l'arrestation sont inconnues, a été libéré sous la pression des familles. Mais la foule n'a pas quitté les lieux, et d'autres personnes se sont jointes à la manifestation, ce qui a poussé les forces de l'ordre à les disperser par la force, selon le site Libya-alyoum. Les manifestants ont scandé, selon ces médias, des slogans contre le régime : "Benghazi, réveille-toi, c'est le jour que tu attendais, le sang des martyrs n'est pas versé en vain", ou encore "Le peuple veut faire tomber la corruption".

"JOURNÉE DE LA COLÈRE"

Le gouvernement libyen a adopté une série de mesures visant notamment à réduire les prix des produits de première nécessité. Le régime de Tripoli s'apprêterait en outre à libérer cent-dix militants incarcérés du Groupe islamique libyen de combat, une organisation interdite par les autorités.

Peu après, des centaines de manifestants pro-régime ont défilé à Benghazi, deuxième ville du pays, mais aussi à Syrte, Sebha et Tripoli, selon des images de la télévision d'Etat. Depuis 4 heures, heure locale (3 heures, heure de Paris), la chaîne Al-Jamahiriya diffusait des images en direct de manifestants défilant à pied et en voiture, brandissant des drapeaux et des photos du colonel Kadhafi et scandant des slogans à la gloire du Guide de la révolution libyenne et contre la chaîne Al-Jazira, accusée par le régime d'inciter à la révolte dans des pays arabes particuliers. "Al-Jazira méprisable, nous ne voulons pas d'autre que notre leader", scandaient notamment les manifestants.

Ces manifestations interviennent à la veille de la "journée de colère" libyenne prévue jeudi, selon des appels lancés sur Facebook. Sous le slogan "Révolte du 17 février 2011 : pour en faire une journée de colère en Libye", un groupe Facebook, qui appelle à un soulèvement contre le régime de Mouammar Kadhafi, est passé de quatre mille quatre cents membres lundi, à neuf mille six cents mercredi matin.

 

 

 


La police libyenne a dispersé par la force un sit-in contre le pouvoir. Des centaines de partisans du dirigeant libyen, Mouammar Kadhafi, ont, quant à eux, défilé peu après dans plusieurs villes du pays, a-t-on appris de sources concordantes.
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